Abidjan – La présidente de la Fédération africaine des associations et unions de jeunes avocats (FA-UJA), Me Nadia Myriam Biouelé, a dénoncé mardi le musèlement des jeunes avocats, à l'ouverture à Abidjan du deuxième congrès ordinaire de cette fédération.
"Il faut que les barreaux soient plus coopératifs, qu'ils arrêtent de museler les jeunes avocats", a-t-elle affirmé, indiquant qu'à la FA-UJA, ils sont conscients de la nécessité de développer avec les Conseils de l'ordre respectifs une intelligence constructive.
"Nous constituons l'espoir pour le développement de la justice, par la construction de nos barreaux forts, indépendants, défenseurs des droits et de l'arbitraire", a-t-elle dit en invitant les Barreaux africains à faciliter la tâche aux jeunes avocats.
Pour elle, un espace d'expression doit être offert aux associations ou unions des jeunes avocats au sein du Conseil de l'ordre pour mieux appréhender leurs aspirations.
"Le partenariat, la complicité doit être de mise et non l'adversité. La complémentarité entre Conseil de l'ordre et AJNUJA sera la règle", estime la présidente de la FA-UJA.
Me Biouelé trouve indéniable qu'un "barreau qui se porte bien, se mesure à travers la vivacité et la performance de sonAJA/UJA".
La présidente de la fédération a, par ailleurs, rendu un vibrant hommage à l'ex-président sénégalais, Me Abdoulaye Wade, présent à ces assises qui s'achèvent, mercredi, par une assemblée générale.
La Fédération africaine des associations et unions de jeunes avocats, créée le 25 mars 2009 à Dakar, est constituée à ce jour de près de 25 UJA/AJA issues des quatre coins du continent africain.
Outre la défense des intérêts moraux et matériels de ses membres, la FA-UJA a pour but d'offrir aux jeunes avocats un cadre interactif de rencontres, d'échanges, de partage d'expériences et de dialogue, ainsi qu'un cadre d'expression de solidarité à l'instar des organisations mondiales des jeunes avocats.
(Aip)
Kkf/kp
"Il faut que les barreaux soient plus coopératifs, qu'ils arrêtent de museler les jeunes avocats", a-t-elle affirmé, indiquant qu'à la FA-UJA, ils sont conscients de la nécessité de développer avec les Conseils de l'ordre respectifs une intelligence constructive.
"Nous constituons l'espoir pour le développement de la justice, par la construction de nos barreaux forts, indépendants, défenseurs des droits et de l'arbitraire", a-t-elle dit en invitant les Barreaux africains à faciliter la tâche aux jeunes avocats.
Pour elle, un espace d'expression doit être offert aux associations ou unions des jeunes avocats au sein du Conseil de l'ordre pour mieux appréhender leurs aspirations.
"Le partenariat, la complicité doit être de mise et non l'adversité. La complémentarité entre Conseil de l'ordre et AJNUJA sera la règle", estime la présidente de la FA-UJA.
Me Biouelé trouve indéniable qu'un "barreau qui se porte bien, se mesure à travers la vivacité et la performance de sonAJA/UJA".
La présidente de la fédération a, par ailleurs, rendu un vibrant hommage à l'ex-président sénégalais, Me Abdoulaye Wade, présent à ces assises qui s'achèvent, mercredi, par une assemblée générale.
La Fédération africaine des associations et unions de jeunes avocats, créée le 25 mars 2009 à Dakar, est constituée à ce jour de près de 25 UJA/AJA issues des quatre coins du continent africain.
Outre la défense des intérêts moraux et matériels de ses membres, la FA-UJA a pour but d'offrir aux jeunes avocats un cadre interactif de rencontres, d'échanges, de partage d'expériences et de dialogue, ainsi qu'un cadre d'expression de solidarité à l'instar des organisations mondiales des jeunes avocats.
(Aip)
Kkf/kp
