Afin de rendre le processus de réconciliation nationale, à la fois participatif, consultatif et inclusif, la CDVR, au cours de son mandat, a décidé de la création et de l’implantation dans toutes les régions du pays, des structures déconcentrées : les commissions locales. Au de nombre 37, pour tenir compte du découpage administratif de la Côte d’Ivoire, elles se voient conférer dix missions. À savoir :
1- Contribuer à la sensibilisation des citoyens et des communautés locales sur les différentes phases du processus ;
2- Proposer des procédures culturelles spécifiques pour faciliter le dialogue local en relation avec les organisations spécialisées partenaires ;
3- Organiser et conduire le dialogue communautaire et intercommunautaire ;
4- Assurer la prise des dépositions des victimes en relation avec les centres d’écoute ;
5- Constituer, en relation avec le Coordonnateur régional, des bases de données locales et régionales sur les préjudices et les victimes, à partir des dépositions ;
6- établir et proposer une typologie locale et régionale des crimes et violations des Droits de l’Homme;
7- Procéder à un recensement régulièrement actualisée et à une préestimation des préjudices subis par les victimes ;
8- Présélectionner les cas des violations les plus graves ou les plus symboliques en vue de les proposer pour inscription au rôle des audiences publiques ;
9- être l’interface des ONG travaillant à l’échelon local, au cours des différentes phases du processus;
10- Constituer une base de données locale et régionale devant figurer éventuellement au Mémorial.
1- Contribuer à la sensibilisation des citoyens et des communautés locales sur les différentes phases du processus ;
2- Proposer des procédures culturelles spécifiques pour faciliter le dialogue local en relation avec les organisations spécialisées partenaires ;
3- Organiser et conduire le dialogue communautaire et intercommunautaire ;
4- Assurer la prise des dépositions des victimes en relation avec les centres d’écoute ;
5- Constituer, en relation avec le Coordonnateur régional, des bases de données locales et régionales sur les préjudices et les victimes, à partir des dépositions ;
6- établir et proposer une typologie locale et régionale des crimes et violations des Droits de l’Homme;
7- Procéder à un recensement régulièrement actualisée et à une préestimation des préjudices subis par les victimes ;
8- Présélectionner les cas des violations les plus graves ou les plus symboliques en vue de les proposer pour inscription au rôle des audiences publiques ;
9- être l’interface des ONG travaillant à l’échelon local, au cours des différentes phases du processus;
10- Constituer une base de données locale et régionale devant figurer éventuellement au Mémorial.