Le ministre Gnénéma Coulibaly a accordé, en son cabinet au Plateau, le mardi 17 décembre, une audience à une délégation conjointe de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) et de l’Association Française des Commissions Nationales des Droits de l’Homme (AFCNDH). Rencontre qui s’inscrit dans le cadre des relations entre la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) et les institutions internationales en charge de cette problématique.
A sa sortie d’audience, Michel Forst, Secrétaire Général de la commission Consultative des Droits de l’Homme de la République Française, conduisant cette délégation s’est félicité de l’importance que le Ministre accorde à la question des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. Il a, par ailleurs, exprimé le soutien total de sa délégation à la demande d’accréditation de la Commission Nationale des Droits de l’Homme introduite auprès du Comité international de coordination des institutions nationales pour la protection et la promotion des droits de l'homme (CIC) et qui sera examiné prochainement par la sous-commission d’accréditation « L’objectif de la mission, a t-il indiqué, était de montrer au ministre toute l’importance que nous accordons à la mise en place de l’institution nationale des Droits de l’Homme. Nous avons reçu des messages très forts, très vifs d’un vrai soutien à la fois politique, administratif et financier à la commission. Nous partageons avec le ministre une noble ambition, un rêve qui va devenir réalité. C’est que la Côte d’Ivoire rejoigne le club des pays qui ont une institution classée A, c’est-à-dire conforme aux principes de Paris. La commission va être examinée prochainement par le sous-comité d’accréditation. Et je suis certain qu’elle franchira la barre avec le soutien apporté par le gouvernement de Côte d’Ivoire. » Les principes de Paris se rapportent au statut et au fonctionnement des institutions nationales pour la protection et la promotion des Droits de l’Homme.
L’hôte du Garde des Sceaux a rappelé également le rôle crucial que doit jouer la Commission nationale pour la protection et la promotion des Droits de l’Homme dans l’architecture judiciaire ivoirienne, dans la perspective de l’instauration d’un Etat de droit. « La commission est un élément indispensable dans les institutions de l’Etat ivoirien. Son rôle est à la fois de faire la promotion des Droits de l’Homme, de faire des enquêtes sur d’éventuelles atteintes au droit, éventuellement de les porter devant la justice et d’accompagner le gouvernement dans le développement de mécanismes législatifs, réglementaires dans le domaine des libertés publiques. »
A sa sortie d’audience, Michel Forst, Secrétaire Général de la commission Consultative des Droits de l’Homme de la République Française, conduisant cette délégation s’est félicité de l’importance que le Ministre accorde à la question des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. Il a, par ailleurs, exprimé le soutien total de sa délégation à la demande d’accréditation de la Commission Nationale des Droits de l’Homme introduite auprès du Comité international de coordination des institutions nationales pour la protection et la promotion des droits de l'homme (CIC) et qui sera examiné prochainement par la sous-commission d’accréditation « L’objectif de la mission, a t-il indiqué, était de montrer au ministre toute l’importance que nous accordons à la mise en place de l’institution nationale des Droits de l’Homme. Nous avons reçu des messages très forts, très vifs d’un vrai soutien à la fois politique, administratif et financier à la commission. Nous partageons avec le ministre une noble ambition, un rêve qui va devenir réalité. C’est que la Côte d’Ivoire rejoigne le club des pays qui ont une institution classée A, c’est-à-dire conforme aux principes de Paris. La commission va être examinée prochainement par le sous-comité d’accréditation. Et je suis certain qu’elle franchira la barre avec le soutien apporté par le gouvernement de Côte d’Ivoire. » Les principes de Paris se rapportent au statut et au fonctionnement des institutions nationales pour la protection et la promotion des Droits de l’Homme.
L’hôte du Garde des Sceaux a rappelé également le rôle crucial que doit jouer la Commission nationale pour la protection et la promotion des Droits de l’Homme dans l’architecture judiciaire ivoirienne, dans la perspective de l’instauration d’un Etat de droit. « La commission est un élément indispensable dans les institutions de l’Etat ivoirien. Son rôle est à la fois de faire la promotion des Droits de l’Homme, de faire des enquêtes sur d’éventuelles atteintes au droit, éventuellement de les porter devant la justice et d’accompagner le gouvernement dans le développement de mécanismes législatifs, réglementaires dans le domaine des libertés publiques. »