Les éléments de la police criminelle de Gagnoa viennent de réussir un grand coup qui restera gravé dans les archives. En effet, ils ont mis aux arrêts un de leur collègue policier qui est en service au district de police de cette ville. Le Sergent Dakoury Djéba Guy Franck, puisque s’est de lui qu’il s’agit serait impliqué dans une affaire de vol de nuit à main armée de kalachnikovs. Il est depuis le 16 décembre, un des pensionnaires de la prison civile de Gagnoa. En attendant son transfèrement devant le tribunal militaire qui est habilité à le juger selon les règles en vigueur. Selon les informations que nous avons recueillies, les faits se sont passés dans la nuit du 14 au 15 décembre. Trois individus ont tenté de braquerle domicile d’un ressortissant Burkinabé au Nouveau quartier de Gagnoa. Celui-ci a reçu à maîtriser deux des braqueurs qu’il a mis à la disposition des policiers de la brigade.
Au cours de l’interrogatoire, les hors la loi citent le Sergent Dakoury Djeba Guy Franck comme étant celui qui les ravitaille en armes. Les autorités policières décident donc de faire appel au sergent qui dit reconnaitre l’arme qui a servi aux bandits. Mais révèle qu’il l’a utilisé pour combattre pendant la crise lorsqu’il était aux cotés des miliciens de Laurent Gbagbo. Il note par ailleurs que la Kalach lui aurait été volé chez lui à la maison. Cette déclaration n’a pas convaincu ses patrons qui ont décidé l’envoyer en prison en compagnie des deux autres braqueurs. Car les policiers aux dires des responsables du 1er arrondissement n’ont pas le droit de garder une arme de guerre. Ils ont tout simplement droit à un pistolet automatique qui est leur arme de dotation individuelle.
Gervais Amany
Au cours de l’interrogatoire, les hors la loi citent le Sergent Dakoury Djeba Guy Franck comme étant celui qui les ravitaille en armes. Les autorités policières décident donc de faire appel au sergent qui dit reconnaitre l’arme qui a servi aux bandits. Mais révèle qu’il l’a utilisé pour combattre pendant la crise lorsqu’il était aux cotés des miliciens de Laurent Gbagbo. Il note par ailleurs que la Kalach lui aurait été volé chez lui à la maison. Cette déclaration n’a pas convaincu ses patrons qui ont décidé l’envoyer en prison en compagnie des deux autres braqueurs. Car les policiers aux dires des responsables du 1er arrondissement n’ont pas le droit de garder une arme de guerre. Ils ont tout simplement droit à un pistolet automatique qui est leur arme de dotation individuelle.
Gervais Amany