Les enseignants contractuels de la direction régionale de l’éducation nationale et de l’enseignement technique de la région du Gôh ne sont pas du tout contents de leur situation sociale actuelle. Et pour se faire entendre, ils menacent d’observer un arrêt de travail et de manière illimitée dans les jours à venir si rien n’est fait concrètement concernant leur statut. Cette information a été donnée à la presse par le coordonnateur régional du collectif des enseignants contractuels du Gôh, Souleymane Diomandé, professeur de science de la vie et de la terre (SVT) au lycée3 de Gagnoa. C’était le lundi 06 janvier 2014 au sortir de la rencontre que son bureau et lui ont eue avec le secrétaire général de préfecture de Gagnoa, M. Kamenan Kré Etienne, assurant l’intérim du préfet Nzi Kanga Rémi absent.
« Les enseignants contractuels de Côte d’Ivoire en général et ceux de la Drenet de Gagnoa en particulier sont dans une incertitude totale. Nous ne savons pas notre statut et cela nous démotive sur le terrain. Il nous a été demandé de déposer nos dossiers dans le mois de novembre dernier pour la régularisation de notre statut. Mais rien n’est fait jusqu’à ce jour. Nous avons présenté le problème au représentant du préfet. Mais si le gouvernement ne réagit pas positivement, nous, à Gagnoa, nous rentrerons en grève illimitée et les autres collègues du pays suivront. De plus, nos perdiems de novembre et décembre ne nous sont pas versés. Nous ne sommes plus prêts à accepter cela. « a menacé le coordonnateur régional dudit collectif.
De son côté, le secrétaire général de la préfecture de Gagnoa que nous avons rencontré a non seulement confirmé l’entrevue qu’il a accordée aux enseignants contractuels, mais il leur a demandé de tout mettre en oeuvre afin que l’école ne connaisse pas de perturbations, les rassurant que l’Etat respectera sa promesse en régularisant leur situation.
5 minutesinfos.net
« Les enseignants contractuels de Côte d’Ivoire en général et ceux de la Drenet de Gagnoa en particulier sont dans une incertitude totale. Nous ne savons pas notre statut et cela nous démotive sur le terrain. Il nous a été demandé de déposer nos dossiers dans le mois de novembre dernier pour la régularisation de notre statut. Mais rien n’est fait jusqu’à ce jour. Nous avons présenté le problème au représentant du préfet. Mais si le gouvernement ne réagit pas positivement, nous, à Gagnoa, nous rentrerons en grève illimitée et les autres collègues du pays suivront. De plus, nos perdiems de novembre et décembre ne nous sont pas versés. Nous ne sommes plus prêts à accepter cela. « a menacé le coordonnateur régional dudit collectif.
De son côté, le secrétaire général de la préfecture de Gagnoa que nous avons rencontré a non seulement confirmé l’entrevue qu’il a accordée aux enseignants contractuels, mais il leur a demandé de tout mettre en oeuvre afin que l’école ne connaisse pas de perturbations, les rassurant que l’Etat respectera sa promesse en régularisant leur situation.
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