Divo – Le chef du village de Nébo, sous-préfecture de Divo, Soko Télesphore, a salué samedi la décision du gouvernement ivoirien d’accorder un nouveau statut à la chefferie traditionnelle en Côte d’Ivoire, demandant à "l’Etat de nous attribuer un budget et un salaire pour faciliter notre travail et améliorer nos conditions de vie".
Soko Télesphore a aussi souhaité que la loi autorise la construction de sièges ou résidences décents pour les chefs, afin de leur conférer "plus d’audience, de respect et de considération au sein de leurs administrés".
La validation du projet de loi portant statut des rois et chefs traditionnels, selon lui, vient à point nommé, expliquant que "nous les chefs, on souffre trop". Il a souhaité que la loi soit rapidement discutée et adoptée à l’assemblée nationale.
Témoignant sur les nombreuses situations auxquelles ils sont souvent confrontés, le chef de Nébo a dit "du 23 décembre au 23 janvier, j’ai reçu, hébergé et nourri cinq étudiants ingénieurs agronomes. Ils sont venus au nom de l’Etat pour faire un travail de recensement. Je me devais de les accueillir avec mes maigres moyens".
La plupart des chefs du département approchés pour se prononcer sur la récente décision du gouvernement de leur accorder un statut ont souhaité l’effectivité rapide du projet en raison de leurs nombreuses difficultés.
(AIP)
Gso/Ask
Soko Télesphore a aussi souhaité que la loi autorise la construction de sièges ou résidences décents pour les chefs, afin de leur conférer "plus d’audience, de respect et de considération au sein de leurs administrés".
La validation du projet de loi portant statut des rois et chefs traditionnels, selon lui, vient à point nommé, expliquant que "nous les chefs, on souffre trop". Il a souhaité que la loi soit rapidement discutée et adoptée à l’assemblée nationale.
Témoignant sur les nombreuses situations auxquelles ils sont souvent confrontés, le chef de Nébo a dit "du 23 décembre au 23 janvier, j’ai reçu, hébergé et nourri cinq étudiants ingénieurs agronomes. Ils sont venus au nom de l’Etat pour faire un travail de recensement. Je me devais de les accueillir avec mes maigres moyens".
La plupart des chefs du département approchés pour se prononcer sur la récente décision du gouvernement de leur accorder un statut ont souhaité l’effectivité rapide du projet en raison de leurs nombreuses difficultés.
(AIP)
Gso/Ask
