«Le campus Senghor est une réalité en Côte d’Ivoire», s’est réjouit Maurice Bandaman, ministre de la Culture et de la Francophonie, présent hier 3 février à la cérémonie solennelle de la rentrée académique (2013-2014) de la première promotion qui suivra deux Masters [sur onze crées]. A savoir le Master 2 «Formation des formateurs en travail social» et «Management de projet» qui sont respectivement dispensés à l’Infs, à Cocody, et à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, au Plateau. D’autres Masters pas encore ouverts concernent la «Gestion des ressources humaines et management public», «Management du développement local et régional», «Santé internationale», «Politiques nutritionnelles», «Gestion des Pme-Pmi», «Gestion du patrimoine culturel», «Gestions des industries culturelles», «Communication et médias», «Gestion des aires protégées». A la Place Sociale de l’Institut où ont été mobilisés les étudiants, Maurice Bandaman a salué la trentaine d’étudiants de l’Infs qui ont été inscrits à la formation de Master. Pour lui, ladite formation qui sera déterminante pour la promotion des cadres de l’université Senghor, il a encouragé ceux qui en sont sortis (les anciens) «à porter haut le flambeau». Aussi a-t-il appelé les cadres, les étudiants en fin de cycle, le personnel de la culture «à s’inscrire à cette vaste ouverture». «Au ministère de la Culture, nous avons pris l’engagement de contribuer à 60% pour la scolarité», a-t-il motivé. Le coût de la formation impliquant les frais d’inscription et de scolarité est de un million sept cent mille Fcfa.
De l’avis de Cissé Bacongo, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique – par ailleurs parrain de la cérémonie, le Campus Senghor qui «vient enrichir l’offre de formation», «devra constituer un laboratoire de la pensé». L’ouverture du Campus Senghor Côte d’Ivoire étant, pour Cissé Bacongo, «un point important dans tout le processus engagé», c’est le 11 janvier 2013 que s’est matérialisé le projet d’externalisation de ladite Université en Côte d’Ivoire. A cette date, Albert Lourdes, Recteur de l’Université Senghor d’Alexandrie [Egypte] en visite en Côte d’Ivoire, a procédé à la signature d’une convention entre l’Etat de Côte d’Ivoire et l’Université.
Pour Epiphane Zoro, Directeur de la Commission nationale de la Francophonie (CNF) et administrateur du Campus Senghor en Côte d’Ivoire, «dès mars, une vaste campagne de promotion de nouveau Master va être ouvert». Donnant la preuve de l’engouement manifesté pour un «diplôme reconnu», il note que pour l’année académique en cours, ce sont 2.800 candidats qui se sont inscrits pour 3.00 places.
Heureux que l’INFS, «la benjamine des universités et grande écoles ait été choisie pour accueillir le Campus», Ago Aké Ebenezer le directeur général de l’institut, a souhaité que le «campus serve au bien être social».
Koné Saydoo
De l’avis de Cissé Bacongo, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique – par ailleurs parrain de la cérémonie, le Campus Senghor qui «vient enrichir l’offre de formation», «devra constituer un laboratoire de la pensé». L’ouverture du Campus Senghor Côte d’Ivoire étant, pour Cissé Bacongo, «un point important dans tout le processus engagé», c’est le 11 janvier 2013 que s’est matérialisé le projet d’externalisation de ladite Université en Côte d’Ivoire. A cette date, Albert Lourdes, Recteur de l’Université Senghor d’Alexandrie [Egypte] en visite en Côte d’Ivoire, a procédé à la signature d’une convention entre l’Etat de Côte d’Ivoire et l’Université.
Pour Epiphane Zoro, Directeur de la Commission nationale de la Francophonie (CNF) et administrateur du Campus Senghor en Côte d’Ivoire, «dès mars, une vaste campagne de promotion de nouveau Master va être ouvert». Donnant la preuve de l’engouement manifesté pour un «diplôme reconnu», il note que pour l’année académique en cours, ce sont 2.800 candidats qui se sont inscrits pour 3.00 places.
Heureux que l’INFS, «la benjamine des universités et grande écoles ait été choisie pour accueillir le Campus», Ago Aké Ebenezer le directeur général de l’institut, a souhaité que le «campus serve au bien être social».
Koné Saydoo