Dans la perspective de la construction en Côte d’Ivoire, de l’unité industrielle promise par le chocolatier français, CEMOI, le président du groupe, M. Poirrier et le directeur général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), Essis Emmanuel, ont signé jeudi à Abidjan, un protocole d’engagement en vue de faciliter l’investissement.
Cette signature est la matérialisation d’une promesse faite le 19 décembre par CEMOI, au cours d’une visite effectuée à Perpignan (France) par le ministre ivoirien de l’Agriculture, Coulibaly Mamadou Sangafowa, sur invitation du chocolatier, dans le cadre de l’inauguration de son centre de recherche et développement.
Ce protocole, d’un montant initial de quelque quatre milliards FCFA, vise à booster la filière du cacao en Côte d’Ivoire.
Après avoir apposé sa signature au bas du texte, le DG du CEPICI a remis, séance tenante, une attestation de recevabilité du dossier au ministre ivoirien de l’Agriculture qui l’a à son tour transmis au ministre délégué français en charge de l’Agro-alimentaire, Guillaume Garot, en présence notamment de l’ambassadeur de France, George Serre.
M. Essis a exprimé sa satisfaction pour cet acte accompli quelques jours après la tenue du forum Investir en Côte d’Ivoire (ICI 2014) et qui vient corroborer l’action du gouvernement pour l’atteinte de l’émergence en 2020.
Quant à M. Poirrier, il a affirmé que CEMOI, en tant que chocolatier ne pouvait pas ignorer ce marché en croissance de l’Afrique de l’Ouest, car la Côte d’Ivoire est la tête de pont de la sous-région.
« Aujourd’hui, c’est d’avenir que nous parlons », a renchéri, pour sa part, M. Garot, en se félicitant de cet engagement qui vise à moderniser la filière cacao et consolider toute la chaîne de valeur dont la chocolaterie et la confiserie.
« Je crois en l’avenir de l’Afrique, je crois en ce que nous faisons et en ce que nous ferons ensemble », a-t-il lancé, félicitant les différentes parties pour la matérialisation de ce projet de développement économique.
Pour M. Garot, il s’agit d’un partenariat gagnant-gagnant qui valorise le savoir-faire français et qui va permettre une 2ème transformation du cacao dont la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial, et donc la création d’emplois dans le pays et de débouchés dans la sous-région.
Quant au premier responsable de l’agriculture ivoirienne, Coulibaly Mamadou Sangafowa, il a souligné que cet acte est la matérialisation de l’engagement de CEMOI d’accompagner la réforme de la filière engagée par l’Etat et qu’elle cadre avec la vision du Président Alassane Ouattara d’optimiser et de mieux partager les ressources de la filière.
« CEMOI vient de poser une acte de pionner », a fait observer le ministre de l’Agriculture, notant qu’après avoir consolidé les acquis à travers la réforme, il faut dès lors réaliser la transformation.
La signature du protocole qui s’est déroulée en présence, entre autres, de la directrice générale du Conseil du café-cacao, Massandjé Touré-Litse et du représentant du ministre Kobenan Kouassi Adjoumani des Ressources animales et halieutiques, s’est tenue à la suite d’une audience accordée au ministre Garot par Coulibaly Mamadou Sangafowa.
cmas
Cette signature est la matérialisation d’une promesse faite le 19 décembre par CEMOI, au cours d’une visite effectuée à Perpignan (France) par le ministre ivoirien de l’Agriculture, Coulibaly Mamadou Sangafowa, sur invitation du chocolatier, dans le cadre de l’inauguration de son centre de recherche et développement.
Ce protocole, d’un montant initial de quelque quatre milliards FCFA, vise à booster la filière du cacao en Côte d’Ivoire.
Après avoir apposé sa signature au bas du texte, le DG du CEPICI a remis, séance tenante, une attestation de recevabilité du dossier au ministre ivoirien de l’Agriculture qui l’a à son tour transmis au ministre délégué français en charge de l’Agro-alimentaire, Guillaume Garot, en présence notamment de l’ambassadeur de France, George Serre.
M. Essis a exprimé sa satisfaction pour cet acte accompli quelques jours après la tenue du forum Investir en Côte d’Ivoire (ICI 2014) et qui vient corroborer l’action du gouvernement pour l’atteinte de l’émergence en 2020.
Quant à M. Poirrier, il a affirmé que CEMOI, en tant que chocolatier ne pouvait pas ignorer ce marché en croissance de l’Afrique de l’Ouest, car la Côte d’Ivoire est la tête de pont de la sous-région.
« Aujourd’hui, c’est d’avenir que nous parlons », a renchéri, pour sa part, M. Garot, en se félicitant de cet engagement qui vise à moderniser la filière cacao et consolider toute la chaîne de valeur dont la chocolaterie et la confiserie.
« Je crois en l’avenir de l’Afrique, je crois en ce que nous faisons et en ce que nous ferons ensemble », a-t-il lancé, félicitant les différentes parties pour la matérialisation de ce projet de développement économique.
Pour M. Garot, il s’agit d’un partenariat gagnant-gagnant qui valorise le savoir-faire français et qui va permettre une 2ème transformation du cacao dont la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial, et donc la création d’emplois dans le pays et de débouchés dans la sous-région.
Quant au premier responsable de l’agriculture ivoirienne, Coulibaly Mamadou Sangafowa, il a souligné que cet acte est la matérialisation de l’engagement de CEMOI d’accompagner la réforme de la filière engagée par l’Etat et qu’elle cadre avec la vision du Président Alassane Ouattara d’optimiser et de mieux partager les ressources de la filière.
« CEMOI vient de poser une acte de pionner », a fait observer le ministre de l’Agriculture, notant qu’après avoir consolidé les acquis à travers la réforme, il faut dès lors réaliser la transformation.
La signature du protocole qui s’est déroulée en présence, entre autres, de la directrice générale du Conseil du café-cacao, Massandjé Touré-Litse et du représentant du ministre Kobenan Kouassi Adjoumani des Ressources animales et halieutiques, s’est tenue à la suite d’une audience accordée au ministre Garot par Coulibaly Mamadou Sangafowa.
cmas