Les autorités ivoiriennes ont annoncé, jeudi, la mise en place d’un « bureau de crédit » qui va centraliser et collecter les informations sur les emprunteurs afin de permettre aux structures bancaires de juger de la solvabilité et de la crédibilité de l’emprunteur.
« Il s'agit en réalité de mettre en place un dispositif de centralisation des incidents de prêts. Donc, il y a tout un environnement qui se met en place pour rassurer le banquier et qui va certainement concourir à une forte réduction des taux d'intérêts (…)», a déclaré Nialé Kaba, la ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée de l'Économie et des Finances.
Mme Kaba qui s'exprimait à Abidjan, lors des journées annuelles du Club des dirigeants de banques et établissements financiers de crédit d'Afrique a rassuré que « toutes les banques pourront consulter » cette base de données.
Selon elle, il sera désormais « difficile pour un opérateur d'emprunter dans chacune des banques sans que les autres ne soient au courant, pour accumuler les risques ».
La première journée de cette célébration, présidée par le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, a été meublée par une communication sur le thème, « des grandes réformes des années 1980 à nos jours : réussites, échecs et perspectives » qui a été faite par le Pr Saidane Dhafer, enseignant d'économie à l'Université de Lille en France.
« Histoire de la banque en Afrique: forces, faiblesses et perspectives », tel est le thème central de ces journées qui s'achèvent vendredi.
Créé en janvier 1989 à Lomé au Togo, le Club des dirigeants de banque et établissement de crédit d'Afrique qui célèbre à ce rendez-vous de la capitale économique ivoirienne, son 25ème anniversaire, est une association à but non lucratif.
Il vise à satisfaire les besoins d'information et formation de ses membres, susciter et faciliter la réflexion des banquiers africains sur les objectifs à atteindre et sur les moyens à mettre en œuvre.
LS/jbk/APA
« Il s'agit en réalité de mettre en place un dispositif de centralisation des incidents de prêts. Donc, il y a tout un environnement qui se met en place pour rassurer le banquier et qui va certainement concourir à une forte réduction des taux d'intérêts (…)», a déclaré Nialé Kaba, la ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée de l'Économie et des Finances.
Mme Kaba qui s'exprimait à Abidjan, lors des journées annuelles du Club des dirigeants de banques et établissements financiers de crédit d'Afrique a rassuré que « toutes les banques pourront consulter » cette base de données.
Selon elle, il sera désormais « difficile pour un opérateur d'emprunter dans chacune des banques sans que les autres ne soient au courant, pour accumuler les risques ».
La première journée de cette célébration, présidée par le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, a été meublée par une communication sur le thème, « des grandes réformes des années 1980 à nos jours : réussites, échecs et perspectives » qui a été faite par le Pr Saidane Dhafer, enseignant d'économie à l'Université de Lille en France.
« Histoire de la banque en Afrique: forces, faiblesses et perspectives », tel est le thème central de ces journées qui s'achèvent vendredi.
Créé en janvier 1989 à Lomé au Togo, le Club des dirigeants de banque et établissement de crédit d'Afrique qui célèbre à ce rendez-vous de la capitale économique ivoirienne, son 25ème anniversaire, est une association à but non lucratif.
Il vise à satisfaire les besoins d'information et formation de ses membres, susciter et faciliter la réflexion des banquiers africains sur les objectifs à atteindre et sur les moyens à mettre en œuvre.
LS/jbk/APA