Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le ministre ivoirien de la Poste, des Technologies de l’Information et de la Communication, Bruno Nabagné Koné a indiqué, jeudi, lors d’une conférence de presse que la hausse de 3% des taxes dans le secteur des télécommunications et des technologies de l’information et de la communication sera sans effet sur la poche des consommateurs.
« Ces augmentations qui ont été faites seront sont sans effets sur la poche des consommateurs », a dit le ministre Bruno Koné qui a, plutôt, annoncé la baisse du coût des communications téléphoniques en cette année 2014.
Pour M. Koné, cette hausse de 3% des taxes sur les télécoms va contribuer à renflouer les caisses de l’Etat. C’est pourquoi, explique-t-il, cela n’est pas fait au «détriment » des consommateurs.
Le secteur des télécommunications contribue à hauteur de 300 milliards FCFA au budget de l’Etat, soit près de 10%. Cette augmentation va apporter davantage de dividendes dans les caisses de l’Etat qui serviront à financer les travaux d’intérêt général au profit de toute la population.
La Côte d’Ivoire enregistre plus de 19 millions d’abonnés aux services de la téléphonie mobile. Un secteur qui a permis de créer, directement, 5000 emplois directs et 100.000 emplois indirects, affiche, selon le ministre en charge de la poste et des TIC, un chiffre d’affaires d’environ 1000 milliards de FCFA par an.
Les compagnies de téléphonie ont investi « 1500 milliards de FCFA ces 10 dernières années » dont 543 milliards de FCFA sur ces cinq dernières années.
Le régime fiscal des entreprises de télécommunications et des technologies de l’information et de la communication dans l’annexe fiscale de la loi des finances 2013-908 du 26 décembre 2013 portant gestion du budget de l’Etat 2014, institue une taxe de 3% à la charge du consommateur, une augmentation du taux de la taxe sur les télécommunications de 3 à 5% et une augmentation du taux de l’impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux de 25 à 30%.
Pourtant, les opérateurs indiquent que conformément à ladite loi, ils ont l’obligation de mettre à la charge des clients, la nouvelle taxe de 3% ajoutée sur le coût des communications téléphoniques et des accès à l’internet.
JBK/hs/ls/APA
« Ces augmentations qui ont été faites seront sont sans effets sur la poche des consommateurs », a dit le ministre Bruno Koné qui a, plutôt, annoncé la baisse du coût des communications téléphoniques en cette année 2014.
Pour M. Koné, cette hausse de 3% des taxes sur les télécoms va contribuer à renflouer les caisses de l’Etat. C’est pourquoi, explique-t-il, cela n’est pas fait au «détriment » des consommateurs.
Le secteur des télécommunications contribue à hauteur de 300 milliards FCFA au budget de l’Etat, soit près de 10%. Cette augmentation va apporter davantage de dividendes dans les caisses de l’Etat qui serviront à financer les travaux d’intérêt général au profit de toute la population.
La Côte d’Ivoire enregistre plus de 19 millions d’abonnés aux services de la téléphonie mobile. Un secteur qui a permis de créer, directement, 5000 emplois directs et 100.000 emplois indirects, affiche, selon le ministre en charge de la poste et des TIC, un chiffre d’affaires d’environ 1000 milliards de FCFA par an.
Les compagnies de téléphonie ont investi « 1500 milliards de FCFA ces 10 dernières années » dont 543 milliards de FCFA sur ces cinq dernières années.
Le régime fiscal des entreprises de télécommunications et des technologies de l’information et de la communication dans l’annexe fiscale de la loi des finances 2013-908 du 26 décembre 2013 portant gestion du budget de l’Etat 2014, institue une taxe de 3% à la charge du consommateur, une augmentation du taux de la taxe sur les télécommunications de 3 à 5% et une augmentation du taux de l’impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux de 25 à 30%.
Pourtant, les opérateurs indiquent que conformément à ladite loi, ils ont l’obligation de mettre à la charge des clients, la nouvelle taxe de 3% ajoutée sur le coût des communications téléphoniques et des accès à l’internet.
JBK/hs/ls/APA