Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’guessan est redescendu sur terre concernant la question de la santé du président de la République, Alassane Ouattara.
En effet, hier à l’ouverture du 8è convention de son parti, le natif de Bongouanou a fait un revirement spectaculaire en demandant à ses militants en particulier et aux Ivoiriens en général, de prier pour le chef de l’Etat afin qu’il retrouve les siens sur les bords de la lagune Ebrié en bonne santé pour continuer son travail inlassable de la restauration de la paix, de la réconciliation nationale et de la reconstruction du pays.
«Je voudrais dire un mot sur l’état de santé du chef de l’Etat, qui suscite ces derniers jours tant de supputations. Il faut comprendre les différentes réactions par rapport aux enjeux de cette situation.
Il y va du dialogue politique, de la réconciliation nationale et de la restauration du pays. La place et le rôle du chef de l’Etat sont d’une extrême importance dans les capacités du pays à poursuivre et à achever son processus de restauration politique, économique et sociale. C’est pour quoi, il faut prier pour le prompt rétablissement et le retour très prochain du chef de l’Etat parmi nous », a-t-il invité.
Tranchant avec ses autres discours où il se réjouissait de la maladie qui a conduit le premier citoyen ivoirien hors du pays. Ce changement de ton où l’ex-prisonnier de Bouna a tourné le dos à l’invective, à l’injure gratuite, à la promotion de la haine et de la violence pour accorder un intérêt particulier à la réconciliation nationale et à la paix n’a pas été du gout de ses militants.
Car, tout au long de son discours, le président du parti bleu n’a pratiquement pas été applaudi. En effet, pour le chef de file de la refondation, le temps est venu pour les hommes politiques ivoiriens de se donner la main afin de donner un élan nouveau à la culture de la paix et de la cohésion. «La grave crise qu’a traversée notre pays interpelle tous les leaders politiques, tous les leaders d’opinions, tous ceux qui ont une responsabilité et une autorité quelconque dans ce pays.
Nous devons donner l’exemple, poser des actes de haute portée symbolique, montrant que le temps de la guerre est passé », a-t-il estimé. C’est pourquoi, le FPI, selon lui, au sortir de son 8è convention extraordinaire, se veut « engagé, fort pour une Côte d’Ivoire solidaire, libre, démocratique et souveraine ».
Il a donc demandé à ses militants d’être mobilisés pour le combat de la libération des prisonniers avec à leur tête l’ancien chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, de la restauration du pays et pour la reconquête du pouvoir d’Etat. Lui emboitant le pas, la présidente de la convention, Agnès Monnet a indiqué que son parti négocie un tournant décisif.
«Les travaux sont d’une importance capitale. Car, ils permettront de faire le bilan de la vie du parti afin de baliser la marche pour les futures batailles », a-t-elle souligné. Avant que les partis invités ne livrent leurs messages de soutien à la vision et au combat du FPI.
Lacina Ouattara
En effet, hier à l’ouverture du 8è convention de son parti, le natif de Bongouanou a fait un revirement spectaculaire en demandant à ses militants en particulier et aux Ivoiriens en général, de prier pour le chef de l’Etat afin qu’il retrouve les siens sur les bords de la lagune Ebrié en bonne santé pour continuer son travail inlassable de la restauration de la paix, de la réconciliation nationale et de la reconstruction du pays.
«Je voudrais dire un mot sur l’état de santé du chef de l’Etat, qui suscite ces derniers jours tant de supputations. Il faut comprendre les différentes réactions par rapport aux enjeux de cette situation.
Il y va du dialogue politique, de la réconciliation nationale et de la restauration du pays. La place et le rôle du chef de l’Etat sont d’une extrême importance dans les capacités du pays à poursuivre et à achever son processus de restauration politique, économique et sociale. C’est pour quoi, il faut prier pour le prompt rétablissement et le retour très prochain du chef de l’Etat parmi nous », a-t-il invité.
Tranchant avec ses autres discours où il se réjouissait de la maladie qui a conduit le premier citoyen ivoirien hors du pays. Ce changement de ton où l’ex-prisonnier de Bouna a tourné le dos à l’invective, à l’injure gratuite, à la promotion de la haine et de la violence pour accorder un intérêt particulier à la réconciliation nationale et à la paix n’a pas été du gout de ses militants.
Car, tout au long de son discours, le président du parti bleu n’a pratiquement pas été applaudi. En effet, pour le chef de file de la refondation, le temps est venu pour les hommes politiques ivoiriens de se donner la main afin de donner un élan nouveau à la culture de la paix et de la cohésion. «La grave crise qu’a traversée notre pays interpelle tous les leaders politiques, tous les leaders d’opinions, tous ceux qui ont une responsabilité et une autorité quelconque dans ce pays.
Nous devons donner l’exemple, poser des actes de haute portée symbolique, montrant que le temps de la guerre est passé », a-t-il estimé. C’est pourquoi, le FPI, selon lui, au sortir de son 8è convention extraordinaire, se veut « engagé, fort pour une Côte d’Ivoire solidaire, libre, démocratique et souveraine ».
Il a donc demandé à ses militants d’être mobilisés pour le combat de la libération des prisonniers avec à leur tête l’ancien chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, de la restauration du pays et pour la reconquête du pouvoir d’Etat. Lui emboitant le pas, la présidente de la convention, Agnès Monnet a indiqué que son parti négocie un tournant décisif.
«Les travaux sont d’une importance capitale. Car, ils permettront de faire le bilan de la vie du parti afin de baliser la marche pour les futures batailles », a-t-elle souligné. Avant que les partis invités ne livrent leurs messages de soutien à la vision et au combat du FPI.
Lacina Ouattara