Le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman, estime que les arts vivants africains, ainsi que les "arts voisins" du spectacle, notamment la mode et le conte, doivent non seulement tirer profit des aspects positifs du numérique pour s’assurer une véritable promotion.
"Le MASA est un label qui revient de la plus belle manière. C'est le plus grand marché en Afrique des arts du spectacle. C'est une grande occasion de rencontre entre créateurs et acheteurs dont la relance doit permettre aux artisans africains d’utiliser les aspects positifs du numérique pour leur visibilité sur le plan mondial", a déclaré Maurice Bandaman qui assistait mardi soir à un défilé de mode de Réatou, un jeune créateur, au palais de la culture de Treichville, dans le cadre du MASA 2014.
"Le numérique est aujourd’hui un phénomène universel dont il faut tirer profit mais en ne restant pas dans les démarches traditionnelles", a-t-il souligné, faisant remarquer que l’admission de la mode au MASA, une innovation cette année avec le conte, vise à "habituer le public africain à consommer les productions locales" pour le développement de l’industrie textile et de la haute couture africaines, promettant une plus large part aussi bien à la mode qu'au conte.
aaa/tm
"Le MASA est un label qui revient de la plus belle manière. C'est le plus grand marché en Afrique des arts du spectacle. C'est une grande occasion de rencontre entre créateurs et acheteurs dont la relance doit permettre aux artisans africains d’utiliser les aspects positifs du numérique pour leur visibilité sur le plan mondial", a déclaré Maurice Bandaman qui assistait mardi soir à un défilé de mode de Réatou, un jeune créateur, au palais de la culture de Treichville, dans le cadre du MASA 2014.
"Le numérique est aujourd’hui un phénomène universel dont il faut tirer profit mais en ne restant pas dans les démarches traditionnelles", a-t-il souligné, faisant remarquer que l’admission de la mode au MASA, une innovation cette année avec le conte, vise à "habituer le public africain à consommer les productions locales" pour le développement de l’industrie textile et de la haute couture africaines, promettant une plus large part aussi bien à la mode qu'au conte.
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