Il reste égal à lui-même. Toujours à la tâche et prêt à accomplir son devoir de premier magistrat de la Côte d’Ivoire. Malgré le repos que lui imposent ses médecins, Alassane Ouattara ne chôme pas. Il ne lâche pas prise et continue, depuis sa résidence de la Riviera Golf, de conduire les affaires de l’Etat. Le fils de Hadja Nabintou Cissé, depuis son retour de la capitale française dimanche dernier, enchaîne audiences sur audiences. Hier encore, en début de soirée, il recevait un émissaire du président congolais, Dénis Sassou Nguesso, en la personne de Gilbert Ondongo, ministre d’Etat, ministre de l’Economie, des Finances, du Plan, du Portefeuille public et de l’Intégration venu lui transmettre les salutations de son homologue. Le premier citoyen ivoirien ne manque pas ainsi de prouver, s’il en était encore besoin, son amour pour le travail et le respect des engagements républicains. Quarante huit heures après son retour, le locataire du palais d’Abidjan, a reçu en audience, pendant plus de quatre heures d’horloge, son homologue et ami, Blaise Compaoré, président du Burkina Faso. De sources proches du palais d’Abidjan, le président Ouattara a un agenda très chargé. Il recevra, en effet, dans les prochains jours, d’autres chefs d’Etats africains, au nombre desquels, Yayi Boni du Bénin et Faure Gnassingbé du Togo. Outre ces rencontres officielles, c’est presque heure après heure que le chef de l’Etat rencontre ses collaborateurs et les membres du gouvernement pour s’enquérir des dossiers en cours et accélérer la mise en œuvre de ses grands chantiers, pour le bonheur des Ivoiriens, comme il l’a lui-même annoncé, dès son retour de Paris, depuis l’aéroport Félix Houphouët-Boigny. Le numéro un ivoirien prépare discrètement, mais sûrement, une visite dans la région de la Mé (Sud-est). Avec un tel agenda, comment peut-on accorder du crédit aux éternels médisants, notamment les journaux proches de l’opposition qui ont même fait le film imaginaire d’une « nuit longue et douloureuse chez Ouattara ». Lequel film faisait état de ce que le SAMU, avec le Dr Cissoko, se seraient précipités au domicile du chef de l’Etat « mal en point» aux environs de 23 heures, le mardi dernier. D’autres encore ont parlé de son retour imminent sur la France, car il ne serait pas encore rétabli. A la vérité, il n’en est strictement rien. Le président Alassane Ouattara est bel et bien en bonne santé et en « pleine forme », contrairement à ceux qu’on veut faire croire. L’honnêteté intellectuelle veut que l’on soit conséquent et logique avec soi-même. Cela dénote de leur volonté manifeste et notoire, de créer toujours une situation de déstabilisation et de panique généralisée. Cette propagande n’est ni plus ni moins que de l’escroquerie intellectuelle, vis-à-vis des lecteurs de ces publications. Le chef de l’Etat se porte bien et continu de travailler pour le bonheur des populations. Comme l’a dit le chanteur et humoriste français, Henri Salvador: «Le travail, c'est la santé ». Alors, que les mauvaises langues se taisent et laissent le chef de l’Etat travailler.
FT
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