Abidjan - Les responsables d’Eckankar, " la religion de la lumière et du son de Dieu", ont organisé un congrès régional, du vendredi au dimanche à leur siège à Abidjan, au cours duquel des outils et techniques ont été donnés aux participants pour être maîtres de leur destinée spirituelle, faire face aux situations qui surviennent dans la vie et être plus épanouis.
Organisé autour du thème "Maîtriser votre destinée spirituelle", ce congrès a réuni un millier de personnes venues de la France et de l’Afrique de l’Ouest qui ont appris, à travers des ateliers, des tables rondes, des panels, des causeries, que le chant de HU, prière principale des eckistes (membres d’Eckankar), la confiance en Dieu, la confiance dans le Mahanta (le chef spirituel d’Eckankar), le respect des lois divines, une vie disciplinée, une vie dédiée à Dieu en faisant correctement ses exercices spirituels, aident à devenir maître de notre destin.
Pendant trois jours les eckistes et leurs invités ont partagé des expériences qui ont démontré, selon les témoignages, que chanter le HU élève la conscience spirituelle et peut aider à obtenir la protection spirituelle, à voir le futur et explorer les vies passées, à avoir le courage face aux situations difficiles, à remplacer la peur par l’amour, à transformer notre vie de façon positive.
Les congressistes ont aussi appris que l’actuel chef spirituel d’Eckankar, Harol Klemp, peut, à travers les capacités conférées par Dieu, permettre aux eckistes à travers les rêves et la communication intérieure, d’éviter certains pièges, de comprendre des leçons spirituelles, de mieux diriger leur vie, d’être plus épanouis, et ainsi de maîtriser leur destinée spirituelle.
Concernant les exercices spirituels ECK, qui sont des techniques de prière, les participants ont retenu à travers les partages d’expériences qu’ils renforcent spirituellement, qu’ils aident à être plus mature et à sortir des sables mouvants durant la période difficile de "traversée de désert".
La conférencière principale du congrès, Sabira Akplogan Ezin, a fait savoir lors de son intervention qu’être maître de sa destinée spirituelle, c’est aussi maitriser tous les aspects de notre vie, c’est apprendre à ne plus être sous l’emprise des vices tels que la colère, l’attachement aux choses matérielles, l’avarice, la luxure et la vanité et ce, grâce à tous les outils que leur donne la religion Eckankar.
Bien que les enseignements d’Eckankar aient des origines anciennes, Eckankar a été révélé en tant que religion moderne en 1965 par le maître ECK Paul Twitchell, un américain né dans le Kentucky.
Le maître Harold Klemp est, depuis 1981, le responsable de l’évolution continuelle des enseignements d’Eckankar.
(AIP)
Amak/kkp/kam
AIP021
CI_Société/Le CICR fait des dons aux populations d’Ancien Prozi (Vavoua)
Vavoua, 10 mars (AIP)- Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a offert, samedi, des vivres et non vivres aux populations d’Ancien Prozi, une localité du département de Vavoua (Centre-ouest, région du Haut Sassandra), après les affrontements intercommunautaires intervenus début février.
Il s’agit de 45 ménages affectés par ce conflit et qui ont été recensés. Ceux-ci ont bénéficié chacun de la literie, de six pagnes, de morceaux de savon, de deux moustiquaires, d’une bâche, de cinq litres d’huile, de haricot, d’un sac de 50 kg de riz et des kits de cuisine et d’hygiène.
Selon le chargé de la communication du bureau ouest du CICR basé à Guiglo, Saoré Brou, le sens de ce don traduit la volonté de son institution de voler au secours des populations victimes d’un conflit dans lequel elles ont tout perdu.
« Le CICR est conscient que chacune des communautés a plus ou moins souffert de cette crise et fait ce don sans rien attendre des populations en retour, sauf voir ces communautés revivre ensemble dans l’harmonie et la paix », a-t-il indiqué, manifestant son souhait de voir les déplacés regagner leurs différentes familles.
Des heurts ont eu lieu le 1er février à Ancien Prozi, un village de la sous-préfecture de Séitifla (Vavoua) entre des autochtones et allochtones et autres ressortissants allogènes de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), suite à un malentendu sur la désignation du chef du village.
Ces affrontements ont causé de nombreux dégâts matériels et des déplacements de plusieurs familles dans certaines localités voisines, rappelle-t-on.
(AIP)
sk/fmo/kkp/ask
Organisé autour du thème "Maîtriser votre destinée spirituelle", ce congrès a réuni un millier de personnes venues de la France et de l’Afrique de l’Ouest qui ont appris, à travers des ateliers, des tables rondes, des panels, des causeries, que le chant de HU, prière principale des eckistes (membres d’Eckankar), la confiance en Dieu, la confiance dans le Mahanta (le chef spirituel d’Eckankar), le respect des lois divines, une vie disciplinée, une vie dédiée à Dieu en faisant correctement ses exercices spirituels, aident à devenir maître de notre destin.
Pendant trois jours les eckistes et leurs invités ont partagé des expériences qui ont démontré, selon les témoignages, que chanter le HU élève la conscience spirituelle et peut aider à obtenir la protection spirituelle, à voir le futur et explorer les vies passées, à avoir le courage face aux situations difficiles, à remplacer la peur par l’amour, à transformer notre vie de façon positive.
Les congressistes ont aussi appris que l’actuel chef spirituel d’Eckankar, Harol Klemp, peut, à travers les capacités conférées par Dieu, permettre aux eckistes à travers les rêves et la communication intérieure, d’éviter certains pièges, de comprendre des leçons spirituelles, de mieux diriger leur vie, d’être plus épanouis, et ainsi de maîtriser leur destinée spirituelle.
Concernant les exercices spirituels ECK, qui sont des techniques de prière, les participants ont retenu à travers les partages d’expériences qu’ils renforcent spirituellement, qu’ils aident à être plus mature et à sortir des sables mouvants durant la période difficile de "traversée de désert".
La conférencière principale du congrès, Sabira Akplogan Ezin, a fait savoir lors de son intervention qu’être maître de sa destinée spirituelle, c’est aussi maitriser tous les aspects de notre vie, c’est apprendre à ne plus être sous l’emprise des vices tels que la colère, l’attachement aux choses matérielles, l’avarice, la luxure et la vanité et ce, grâce à tous les outils que leur donne la religion Eckankar.
Bien que les enseignements d’Eckankar aient des origines anciennes, Eckankar a été révélé en tant que religion moderne en 1965 par le maître ECK Paul Twitchell, un américain né dans le Kentucky.
Le maître Harold Klemp est, depuis 1981, le responsable de l’évolution continuelle des enseignements d’Eckankar.
(AIP)
Amak/kkp/kam
AIP021
CI_Société/Le CICR fait des dons aux populations d’Ancien Prozi (Vavoua)
Vavoua, 10 mars (AIP)- Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a offert, samedi, des vivres et non vivres aux populations d’Ancien Prozi, une localité du département de Vavoua (Centre-ouest, région du Haut Sassandra), après les affrontements intercommunautaires intervenus début février.
Il s’agit de 45 ménages affectés par ce conflit et qui ont été recensés. Ceux-ci ont bénéficié chacun de la literie, de six pagnes, de morceaux de savon, de deux moustiquaires, d’une bâche, de cinq litres d’huile, de haricot, d’un sac de 50 kg de riz et des kits de cuisine et d’hygiène.
Selon le chargé de la communication du bureau ouest du CICR basé à Guiglo, Saoré Brou, le sens de ce don traduit la volonté de son institution de voler au secours des populations victimes d’un conflit dans lequel elles ont tout perdu.
« Le CICR est conscient que chacune des communautés a plus ou moins souffert de cette crise et fait ce don sans rien attendre des populations en retour, sauf voir ces communautés revivre ensemble dans l’harmonie et la paix », a-t-il indiqué, manifestant son souhait de voir les déplacés regagner leurs différentes familles.
Des heurts ont eu lieu le 1er février à Ancien Prozi, un village de la sous-préfecture de Séitifla (Vavoua) entre des autochtones et allochtones et autres ressortissants allogènes de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), suite à un malentendu sur la désignation du chef du village.
Ces affrontements ont causé de nombreux dégâts matériels et des déplacements de plusieurs familles dans certaines localités voisines, rappelle-t-on.
(AIP)
sk/fmo/kkp/ask