Il y a des zones dans la capitale économique où la sécurité devrait être de mise. Mais force est de constater que n’importe qui a accès au ministère de la Défense, aux différents camps d’Abidjan. Une situation à vite corriger.
De toute évidence, il n’y a pas de zones de sécurité prioritaires à Abidjan. Pour pénétrer dans l’enceinte du ministère de la Défense sise en plein cœur du Plateau, pas besoin de montrer patte blanche. Le visiteur entre comme dans un moulin. Il n’y a aucun garde posté à l’entrée, donc aucun contrôle des papiers d’identité. Une fois l’entrée principale franchie, on tombe sur une vaste cour intérieure avec des militaires en treillis complet ou demi-saison en train d’enfiler des perles. Il n’y a rien à signaler (Ras), comme on le dit en langage militaire. (Lire la suite dans Nord-Sud Quotidien)
Bakayoko Youssouf
De toute évidence, il n’y a pas de zones de sécurité prioritaires à Abidjan. Pour pénétrer dans l’enceinte du ministère de la Défense sise en plein cœur du Plateau, pas besoin de montrer patte blanche. Le visiteur entre comme dans un moulin. Il n’y a aucun garde posté à l’entrée, donc aucun contrôle des papiers d’identité. Une fois l’entrée principale franchie, on tombe sur une vaste cour intérieure avec des militaires en treillis complet ou demi-saison en train d’enfiler des perles. Il n’y a rien à signaler (Ras), comme on le dit en langage militaire. (Lire la suite dans Nord-Sud Quotidien)
Bakayoko Youssouf