Abidjan - Une convention cadre a été signée, vendredi, à Abidjan, entre le Conseil du coton et l’anacarde (CCA), l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER) et le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) pour appuyer l’encadrement des producteurs de l’anacarde afin d’améliorer la production nationale.
Selon le directeur général du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Malamine Sanogo, « la production actuelle reste très faible », car traduite par environ « 300 kilogrammes de noix de cajou par hectare » d’espace cultivé.
Nonobstant la deuxième place qu’occupe la Côte d’Ivoire au rang mondial des producteurs de noix de cajou, des améliorations sont nécessaires pour booster la quantité et la qualité de la production nationale pour atteindre à « l’horizon 2016 et 2017 une production de plus de 800 kg à une tonne par hectare et se hisser à la première place mondiale ».
Le Dg de l’ANADER, Dr Sidiki Cissé a réaffirmé le soutien de sa structure pour faire de la filière anacarde, « une filière prospère pour que le pays parvienne à l’émergence en 2020 ».
Dans le même élan, le directeur exécutif du FIRCA, Angnima Ackah Pierre a promis que « nous ferons tout notre possible pour que les résultats soient au bout de cet investissement ».
Dans le cadre de la matérialisation de cette convention, une planification suivra, pour dégager les ressources nécessaires, les zones cibles, et les actions à mener pour un encadrement efficace des premiers acteurs de cette filière que représentent les paysans, qui pour la plupart, vivent dans des conditions sociales défavorables.
L’anacarde dont l’arbre (l’anacardier) qui autrefois, était une essence d’arbre plantée dans les zones nord de la Côte d’Ivoire, pour freiner la désertification, est devenu, au fil des années, un réel produit avec une valeur marchande.
La majorité de la production nationale (500 mille tonnes en 2013) est exportée vers l’Inde et le Vietnam qui les décortiquent avant de les réexporter sous forme d’amendes blanches ou grillées.
JBK/hs/ls/APA
Selon le directeur général du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Malamine Sanogo, « la production actuelle reste très faible », car traduite par environ « 300 kilogrammes de noix de cajou par hectare » d’espace cultivé.
Nonobstant la deuxième place qu’occupe la Côte d’Ivoire au rang mondial des producteurs de noix de cajou, des améliorations sont nécessaires pour booster la quantité et la qualité de la production nationale pour atteindre à « l’horizon 2016 et 2017 une production de plus de 800 kg à une tonne par hectare et se hisser à la première place mondiale ».
Le Dg de l’ANADER, Dr Sidiki Cissé a réaffirmé le soutien de sa structure pour faire de la filière anacarde, « une filière prospère pour que le pays parvienne à l’émergence en 2020 ».
Dans le même élan, le directeur exécutif du FIRCA, Angnima Ackah Pierre a promis que « nous ferons tout notre possible pour que les résultats soient au bout de cet investissement ».
Dans le cadre de la matérialisation de cette convention, une planification suivra, pour dégager les ressources nécessaires, les zones cibles, et les actions à mener pour un encadrement efficace des premiers acteurs de cette filière que représentent les paysans, qui pour la plupart, vivent dans des conditions sociales défavorables.
L’anacarde dont l’arbre (l’anacardier) qui autrefois, était une essence d’arbre plantée dans les zones nord de la Côte d’Ivoire, pour freiner la désertification, est devenu, au fil des années, un réel produit avec une valeur marchande.
La majorité de la production nationale (500 mille tonnes en 2013) est exportée vers l’Inde et le Vietnam qui les décortiquent avant de les réexporter sous forme d’amendes blanches ou grillées.
JBK/hs/ls/APA