ABIDJAN -- La situation sécuritaire générale est "calme" en Côte d'Ivoire mais les forces de défense et de sécurité assurent une "veille opérationnelle permanente" dans l'ouest du pays, théâtre de plusieurs attaques meurtrières menées par des bandes armées depuis la crise post-électorale de 2010-2011, indique jeudi à Abidjan l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci).
"Au plan sécuritaire la situation générale est calme" mais dans l'Ouest du pays, zone frontalière avec le Liberia, la force onusienne, les militaires français de l'Opération Licorne et l'armée ivoirienne "continuent d'assurer une veille opérationnelle permanente", selon une note d'information de l'Onuci transmise à Xinhua.
Les trois forces de défense et de sécurité "poursuivent leur étroite collaboration" avec "1.691 patrouilles simples, mixtes et conjointes" effectuées "au cours de la quinzaine écoulée" sur toute l'étendue du territoire ivoirien, poursuit le texte.
Dans la même période, la force de l'Onuci a effectué "au total 3.380 patrouilles terrestres et aériennes", précise la note d'information.
Les forces de sécurité renforcent leur coopération à travers des réunions "tripartites bimensuelles" qui leur permettent de faire "un tour d'horizon des questions sécuritaires et de la collaboration pour une sécurisation globale du territoire".
L'ouest de la Côte d'Ivoire a payé un lourd tribut à la crise post-électorale qui a fait au moins 3.000 morts dans le pays.
Au plus fort de la crise post-électorale, plus de 100.000 Ivoiriens s'étaient réfugiés au Liberia voisin et, selon l'Onu, au moins 50.000 y vivent encore.
La région est régulièrement secouée par des violences et des attaques meurtrières, généralement contre les positions de l'armée ivoirienne.
En février, des assaillants ont attaqué un poste militaire à Grabo (520 km au sud-ouest d'Abidjan), limitrophe du Liberia, faisant cinq morts.
Après une série d'attaques, le 8 juin 2012 à Taï, près de Grabo, sept Casques bleus et trois militaires ivoiriens d'une patrouille mixte des forces onusienne et ivoirienne avaient été tués dans une embuscade tendue par des individus lourdement armés.
"Au plan sécuritaire la situation générale est calme" mais dans l'Ouest du pays, zone frontalière avec le Liberia, la force onusienne, les militaires français de l'Opération Licorne et l'armée ivoirienne "continuent d'assurer une veille opérationnelle permanente", selon une note d'information de l'Onuci transmise à Xinhua.
Les trois forces de défense et de sécurité "poursuivent leur étroite collaboration" avec "1.691 patrouilles simples, mixtes et conjointes" effectuées "au cours de la quinzaine écoulée" sur toute l'étendue du territoire ivoirien, poursuit le texte.
Dans la même période, la force de l'Onuci a effectué "au total 3.380 patrouilles terrestres et aériennes", précise la note d'information.
Les forces de sécurité renforcent leur coopération à travers des réunions "tripartites bimensuelles" qui leur permettent de faire "un tour d'horizon des questions sécuritaires et de la collaboration pour une sécurisation globale du territoire".
L'ouest de la Côte d'Ivoire a payé un lourd tribut à la crise post-électorale qui a fait au moins 3.000 morts dans le pays.
Au plus fort de la crise post-électorale, plus de 100.000 Ivoiriens s'étaient réfugiés au Liberia voisin et, selon l'Onu, au moins 50.000 y vivent encore.
La région est régulièrement secouée par des violences et des attaques meurtrières, généralement contre les positions de l'armée ivoirienne.
En février, des assaillants ont attaqué un poste militaire à Grabo (520 km au sud-ouest d'Abidjan), limitrophe du Liberia, faisant cinq morts.
Après une série d'attaques, le 8 juin 2012 à Taï, près de Grabo, sept Casques bleus et trois militaires ivoiriens d'une patrouille mixte des forces onusienne et ivoirienne avaient été tués dans une embuscade tendue par des individus lourdement armés.