La Plateforme de lutte contre la cybercriminalité Côte d’Ivoire, une division de la police scientifique spécialisée dans les crimes sur internet a diffusé sur son site une liste de douze cabinets de recrutements corrompus, a-t-on appris hier.
Une liste de 12 cabinets de recrutement corrompus avec leur dénomination, numéro de téléphone, adresse géographique et email est diffusée sur le site du PLCC
Toutefois, aucune explication n’a été donnée sur le motif pour lequel ces différentes entreprises sont qualifiées de corrompus ni sur d’éventuelles arrestations des responsables encore moins sur la fermeture de ces agences.
La Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC) publie régulièrement sur son site internet les noms de cybercriminels communément appelés brouteurs qui sont arrêtés.
La PLCC créée en 2011 et représentée par la DITT (Direction de l’Informatique et des Traces Technologiques) est constituée d’agents spécialisés dans divers domaines de la lutte contre la cybercriminalité qui travaillent sous la supervision générale du parquet d’Abidjan, représenté par le substitut du procureur de la république.
La cybercriminalité aurait causé un préjudice de plus de trois milliards de F CFA en 2012 à l’État Ivoirien selon les chiffres du PLCC.
Une liste de 12 cabinets de recrutement corrompus avec leur dénomination, numéro de téléphone, adresse géographique et email est diffusée sur le site du PLCC
Toutefois, aucune explication n’a été donnée sur le motif pour lequel ces différentes entreprises sont qualifiées de corrompus ni sur d’éventuelles arrestations des responsables encore moins sur la fermeture de ces agences.
La Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC) publie régulièrement sur son site internet les noms de cybercriminels communément appelés brouteurs qui sont arrêtés.
La PLCC créée en 2011 et représentée par la DITT (Direction de l’Informatique et des Traces Technologiques) est constituée d’agents spécialisés dans divers domaines de la lutte contre la cybercriminalité qui travaillent sous la supervision générale du parquet d’Abidjan, représenté par le substitut du procureur de la république.
La cybercriminalité aurait causé un préjudice de plus de trois milliards de F CFA en 2012 à l’État Ivoirien selon les chiffres du PLCC.