Chelsea s’est qualifié mardi dernier pour les demi-finales de la Ligue des champions, en remontant deux buts au PSG.
Les faits lui ont donné raison. Avant le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions, Laurent Blanc avait fait remarquer que malgré son budget et ses stars, le PSG ne possédait ni l’histoire européenne ni l’expérience des sept autres équipes qualifiées. Un constat qui, a fortiori, s’est avéré exact. Malgré sa victoire 3-1 à l’aller, le club de lutèce craqué (0-2) mardi soir à Stamford Bridge. Comme l’an dernier, il regardera les demi-finales de la C1 à la télé, tandis que les Blues y prendront part en habitués. Sur les 9 derniers quarts de finale qu’ils ont disputé, les Londoniens se sont qualifiés à huit reprises (dont 7 fois en C1). Avant la rencontre, les chiffres plaidaient pourtant pour le PSG. Statistiquement, Cavani et ses équipiers possédaient 78% des chances de se qualifier : sur neuf cas de figure depuis la saison 1992-1993, sept équipes étaient parvenus à maintenir leur avance au match retour, après s’être imposée 3-1 à l’aller. Les Parisiens auraient cependant dû se méfier : de Chelsea qui était parvenu à renverser une situation identique face à Naples en 2011-20112, mais surtout de José Mourinho. Après l’Inter (1) et le Real (3), l’entraîneur portugais est parvenu à hisser son équipe dans le dernier carré de la C1 pour la cinquième année d’affilée. Autre élément qui aurait dû inciter le PSG à la prudence : le technicien n’a jamais été éliminé en quart de finale de la Ligue des champions. En s’inclinant à Stamford Bridge, le PSG n’a concédé que sa deuxième défaite en dix-huit matches de C1 (12 victoires, 4 nuls). Une défaite cruelle, mais expressive des limites du football français : sur les 13 quarts de finale disputés par des clubs de l’hexagone, seulement cinq ont accouché d’une qualification. Dans le cas du PSG, on ne peut s’empêcher de penser que l’absence d’Ibrahimovic a pesé. Sans son international suédois, le club de la capitale n’a pas trouvé la faille alors qu’il restait sur une série de 17 matches où, il avait trouvé le chemin des filets. Il s’agit également de sa première défaite en 8 matches à élimination directe. Comme en 2013, les Parisiens sortent à l’étape des quarts de finale. A eux, de ne plus oublier la leçon après cet autre revers !
Annoncia S. avec francefootball.fr
Les faits lui ont donné raison. Avant le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions, Laurent Blanc avait fait remarquer que malgré son budget et ses stars, le PSG ne possédait ni l’histoire européenne ni l’expérience des sept autres équipes qualifiées. Un constat qui, a fortiori, s’est avéré exact. Malgré sa victoire 3-1 à l’aller, le club de lutèce craqué (0-2) mardi soir à Stamford Bridge. Comme l’an dernier, il regardera les demi-finales de la C1 à la télé, tandis que les Blues y prendront part en habitués. Sur les 9 derniers quarts de finale qu’ils ont disputé, les Londoniens se sont qualifiés à huit reprises (dont 7 fois en C1). Avant la rencontre, les chiffres plaidaient pourtant pour le PSG. Statistiquement, Cavani et ses équipiers possédaient 78% des chances de se qualifier : sur neuf cas de figure depuis la saison 1992-1993, sept équipes étaient parvenus à maintenir leur avance au match retour, après s’être imposée 3-1 à l’aller. Les Parisiens auraient cependant dû se méfier : de Chelsea qui était parvenu à renverser une situation identique face à Naples en 2011-20112, mais surtout de José Mourinho. Après l’Inter (1) et le Real (3), l’entraîneur portugais est parvenu à hisser son équipe dans le dernier carré de la C1 pour la cinquième année d’affilée. Autre élément qui aurait dû inciter le PSG à la prudence : le technicien n’a jamais été éliminé en quart de finale de la Ligue des champions. En s’inclinant à Stamford Bridge, le PSG n’a concédé que sa deuxième défaite en dix-huit matches de C1 (12 victoires, 4 nuls). Une défaite cruelle, mais expressive des limites du football français : sur les 13 quarts de finale disputés par des clubs de l’hexagone, seulement cinq ont accouché d’une qualification. Dans le cas du PSG, on ne peut s’empêcher de penser que l’absence d’Ibrahimovic a pesé. Sans son international suédois, le club de la capitale n’a pas trouvé la faille alors qu’il restait sur une série de 17 matches où, il avait trouvé le chemin des filets. Il s’agit également de sa première défaite en 8 matches à élimination directe. Comme en 2013, les Parisiens sortent à l’étape des quarts de finale. A eux, de ne plus oublier la leçon après cet autre revers !
Annoncia S. avec francefootball.fr