Adzopé - Le directeur régional de l’éducation nationale et de l’enseignement technique d’Adzopé (Drenet), Diaby Sékou, a annoncé vendredi que 85 cas de grossesses en milieu scolaire ont été enregistrés au premier trimestre à Adzopé (sud, région de la Mé).
Invitant les acteurs du système éducatif, notamment les enseignants, les éducateurs, à s’approprier et à diffuser davantage la campagne de sensibilisation "zéro grossesse à l’école, il s’est dit inquiet par cette situation.
"Je demande à la population d’œuvrer à éradiquer ce fléau dans nos écoles, lycées et collèges, conformément au vœu du ministre de l’éducation nationale et de l’enseignement technique", a-t-il insisté.
Il a par ailleurs invité les parents à encadrer et à sensibiliser leurs enfants et surtout les filles sur les enjeux de la grossesse en milieu scolaire. "Ce fléau", relève-t-il, constitue un problème de santé pour les jeunes filles en même temps qu’elles vont à l’encontre de la politique du gouvernement qui vise à accorder les mêmes chances aux jeunes des deux sexes.
Le secrétaire général de la préfecture d’Adzopé, Christophe Kouassi Kouakou, a pour sa part exhorté les parents d’élèves à disposer suffisamment de temps afin de veiller sur leurs enfants surtout les filles et à jouer pleinement leur rôle d’éducateur. Aux élèves, il leur a demandé de se consacrer au cours et non à autres choses et aux enseignants, il leur recommande de rester éducateurs.
(AIP)
go/tad/kam
Invitant les acteurs du système éducatif, notamment les enseignants, les éducateurs, à s’approprier et à diffuser davantage la campagne de sensibilisation "zéro grossesse à l’école, il s’est dit inquiet par cette situation.
"Je demande à la population d’œuvrer à éradiquer ce fléau dans nos écoles, lycées et collèges, conformément au vœu du ministre de l’éducation nationale et de l’enseignement technique", a-t-il insisté.
Il a par ailleurs invité les parents à encadrer et à sensibiliser leurs enfants et surtout les filles sur les enjeux de la grossesse en milieu scolaire. "Ce fléau", relève-t-il, constitue un problème de santé pour les jeunes filles en même temps qu’elles vont à l’encontre de la politique du gouvernement qui vise à accorder les mêmes chances aux jeunes des deux sexes.
Le secrétaire général de la préfecture d’Adzopé, Christophe Kouassi Kouakou, a pour sa part exhorté les parents d’élèves à disposer suffisamment de temps afin de veiller sur leurs enfants surtout les filles et à jouer pleinement leur rôle d’éducateur. Aux élèves, il leur a demandé de se consacrer au cours et non à autres choses et aux enseignants, il leur recommande de rester éducateurs.
(AIP)
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