Le verdict de l’audience de confirmation ou non des charges contre l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo sera connu dans 60 jours, a annoncé, lundi, la Cour pénale internationale (CPI).
Dans un communiqué rendu public, la juridiction internationale affirme qu’elle "a désormais 60 jours pour rendre sa décision concernant la confirmation des charges contre Laurent Gbagbo ".
Cette décision a été prise, après que la défense de l’ex-Chef de l’Etat ivoirien ait déposé un document relatif à ses "observations sur les dernières preuves du Procureur", Fatou Bensouda.
A la fin de ce délai, l’ancien Chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo devra être situé si oui ou non, il devra comparaître pour le procès.
Début juin, les juges de la CPI avaient indiqué au procureur Fatou Bansouda qu’ils avaient besoin de preuves supplémentaires pour décider de mener ou non un procès contre Laurent Gbagbo.
A 69 ans, l’ex-homme fort d’Abidjan est à la CPI depuis fin novembre 2011 pour son rôle présumé dans les violences post-électorales qui avaient déchiré la Côte d’Ivoire de décembre 2010 à avril 2011, faisant plus de 3000 morts.
LS/hs/APA
Dans un communiqué rendu public, la juridiction internationale affirme qu’elle "a désormais 60 jours pour rendre sa décision concernant la confirmation des charges contre Laurent Gbagbo ".
Cette décision a été prise, après que la défense de l’ex-Chef de l’Etat ivoirien ait déposé un document relatif à ses "observations sur les dernières preuves du Procureur", Fatou Bensouda.
A la fin de ce délai, l’ancien Chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo devra être situé si oui ou non, il devra comparaître pour le procès.
Début juin, les juges de la CPI avaient indiqué au procureur Fatou Bansouda qu’ils avaient besoin de preuves supplémentaires pour décider de mener ou non un procès contre Laurent Gbagbo.
A 69 ans, l’ex-homme fort d’Abidjan est à la CPI depuis fin novembre 2011 pour son rôle présumé dans les violences post-électorales qui avaient déchiré la Côte d’Ivoire de décembre 2010 à avril 2011, faisant plus de 3000 morts.
LS/hs/APA