Les combattants du groupe islamiste Boko Haram ont commis lundi soir une attaque dans une école du Nord-est du Nigeria, où plus de 100 jeunes filles ont été kidnappées.
Les soldats déployés pour assurer la sécurité des écoliers n'ont rien pu faire face à la violence. Réputés hostiles à l'éducation occidentale qu'ils considèrent comme un "péché", les insurgés islamistes de la secte Boko Haram ont attaqué un établissement d'enseignement secondaire du Nord-est du Nigeria.
"Des nombreuses jeunes filles [y] ont été enlevées", a affirmé le lendemain Emmanuel Sam, responsable de l'éducation pour la ville de Chibok, dans l'État de Borno, où l'attaque a eu lieu.
Un habitant de Chibok a déclaré avoir vu des hommes lourdement armés arriver dans des camions et sur des motos, se dirigeant vers l'école. Des soldats avaient pourtant été déployés dans la ville afin d'assurer la sécurité des lycéens pendant la durée de l'examen, mais les islamistes les ont maîtrisés avant d'emmener les écolières.
Les jeunes filles enlevées devaient passer cette semaine un examen annuel donnant accès à un diplôme commun à plusieurs pays d'Afrique anglophone, le West African Senior School Certificate Examination, qui permet d'entrer à l'université.
cmas
Les soldats déployés pour assurer la sécurité des écoliers n'ont rien pu faire face à la violence. Réputés hostiles à l'éducation occidentale qu'ils considèrent comme un "péché", les insurgés islamistes de la secte Boko Haram ont attaqué un établissement d'enseignement secondaire du Nord-est du Nigeria.
"Des nombreuses jeunes filles [y] ont été enlevées", a affirmé le lendemain Emmanuel Sam, responsable de l'éducation pour la ville de Chibok, dans l'État de Borno, où l'attaque a eu lieu.
Un habitant de Chibok a déclaré avoir vu des hommes lourdement armés arriver dans des camions et sur des motos, se dirigeant vers l'école. Des soldats avaient pourtant été déployés dans la ville afin d'assurer la sécurité des lycéens pendant la durée de l'examen, mais les islamistes les ont maîtrisés avant d'emmener les écolières.
Les jeunes filles enlevées devaient passer cette semaine un examen annuel donnant accès à un diplôme commun à plusieurs pays d'Afrique anglophone, le West African Senior School Certificate Examination, qui permet d'entrer à l'université.
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