Tengréla - L’Institution de formation et d’éducation féminine (IFEF) de Tengréla (Nord, région du Bagoué) a rouvert ses portes depuis le début du mois d’avril, après douze ans de fermeture, a constaté l’AIP vendredi, après être passé dans ce centre qui reste en proie à d’énormes difficultés.
En dépit d’importants dons de matériels composés de machine à coudre, de congélateurs et de cuisinières à gaz faits par la Première dame, Dominique Ouattara, à l’Institut, lors de la visite d’Etat du président de la République en juillet dans la région, la directrice de l’établissement, Dié Christiane Léa, relève que l’école peine à démarrer tant les défis sont nombreux.
«Il nous faut faire des travaux de plomberie, d’électricité pour rendre d’abord le bâtiment fonctionnel. Ensuite, l’école a besoin de matériels pédagogiques, de mobiliers et de matériels de bureau », souligne-t-elle.
Par ailleurs, la directrice indique que pour une école censée former aux métiers de la cuisine et de la pâtisserie, les locaux ne sont pas équipés d’une salle de cuisine.
Lançant un appel aux collectivités locales pour parrainer l’inscription d’un certain nombre de femmes, elle a exhorté celles de Tengréla à s’y inscrire : « Ce foyer est le leur, qu’elles s’y intéressent donc », a-t-elle insisté.
L’IFEF forme les femmes déscolarisées à l’alphabétisation, à la couture, à la broderie, à la cuisine, à la pâtisserie, à l’art décoratif et à l’hygiène familiale, note-t-on
(AIP)
tmpo/tad/kkp/tm
En dépit d’importants dons de matériels composés de machine à coudre, de congélateurs et de cuisinières à gaz faits par la Première dame, Dominique Ouattara, à l’Institut, lors de la visite d’Etat du président de la République en juillet dans la région, la directrice de l’établissement, Dié Christiane Léa, relève que l’école peine à démarrer tant les défis sont nombreux.
«Il nous faut faire des travaux de plomberie, d’électricité pour rendre d’abord le bâtiment fonctionnel. Ensuite, l’école a besoin de matériels pédagogiques, de mobiliers et de matériels de bureau », souligne-t-elle.
Par ailleurs, la directrice indique que pour une école censée former aux métiers de la cuisine et de la pâtisserie, les locaux ne sont pas équipés d’une salle de cuisine.
Lançant un appel aux collectivités locales pour parrainer l’inscription d’un certain nombre de femmes, elle a exhorté celles de Tengréla à s’y inscrire : « Ce foyer est le leur, qu’elles s’y intéressent donc », a-t-elle insisté.
L’IFEF forme les femmes déscolarisées à l’alphabétisation, à la couture, à la broderie, à la cuisine, à la pâtisserie, à l’art décoratif et à l’hygiène familiale, note-t-on
(AIP)
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