Le président du parlement ivoirien, Guillaume Kigbafori Soro, a déclaré, lundi, à Abidjan, ne pas « être visé » par un mandat de la Cour pénale internationale (CPI).
Invité de la rédaction du quotidien Fraternité Matin (journal à capitaux publics), Guillaume Kigbafori Soro, président de l’Assemblée nationale, a indiqué ne pas être visé par la CPI.
« Si la CPI avait un début de soupçons à mon égard, elle ne m’aurait pas invité à sa tribune aux Etats-Unis » a-t-il déclaré soulignant que ce sont des « fantasmes de politiciens qui espèrent me voir à la CPI ».
Se disant d’une sérénité « inébranlable », Guillaume Kigbafori Soro a insisté qu’il «ne peut pas être visé» par la Cour pénale internationale.
Quant au transfèrement de l’ex-leader de la jeunesse patriotique, Charles Blé Goudé à la CPI, il a invité à « laisser les choses se faire ».
Par ailleurs, M. Soro, « assumant la rébellion » dont il était le chef (2002-2011) a expliqué que « le pays était au bord du gouffre » à l’éclatement du coup d’Etat manqué qui s’est mué en rébellion armée, coupant le pays en deux.
D’autre part, Guillaume Kigbafori Soro a indiqué qu’il n’y a pas de « nuages » entre le Ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko et lui. « Il n’y a pas de guerre entre Hamed et moi » a-t-il tranché.
L’opinion ivoirienne prête des ambitions « présidentielles » aux deux personnalités qui se livreraient à une « guerre » de succession.
HS/ls/APA
Invité de la rédaction du quotidien Fraternité Matin (journal à capitaux publics), Guillaume Kigbafori Soro, président de l’Assemblée nationale, a indiqué ne pas être visé par la CPI.
« Si la CPI avait un début de soupçons à mon égard, elle ne m’aurait pas invité à sa tribune aux Etats-Unis » a-t-il déclaré soulignant que ce sont des « fantasmes de politiciens qui espèrent me voir à la CPI ».
Se disant d’une sérénité « inébranlable », Guillaume Kigbafori Soro a insisté qu’il «ne peut pas être visé» par la Cour pénale internationale.
Quant au transfèrement de l’ex-leader de la jeunesse patriotique, Charles Blé Goudé à la CPI, il a invité à « laisser les choses se faire ».
Par ailleurs, M. Soro, « assumant la rébellion » dont il était le chef (2002-2011) a expliqué que « le pays était au bord du gouffre » à l’éclatement du coup d’Etat manqué qui s’est mué en rébellion armée, coupant le pays en deux.
D’autre part, Guillaume Kigbafori Soro a indiqué qu’il n’y a pas de « nuages » entre le Ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko et lui. « Il n’y a pas de guerre entre Hamed et moi » a-t-il tranché.
L’opinion ivoirienne prête des ambitions « présidentielles » aux deux personnalités qui se livreraient à une « guerre » de succession.
HS/ls/APA