La deuxième édition du Salon international dédié à la défense et à la sécurité en Afrique s’est ouverte le mardi 6 mai à Abidjan.
Selon le ministre auprès du Président de la République chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi il s’agira au cours de ce salon pour tous, décideurs, professionnels, experts et organisateurs du salon de converger sur la nécessité d’une synergie d’action dans la résolution des problèmes sécuritaires.
Ce n’est un secret pour personne quant au fait que les pays africains ont besoin de s’adapter aux nouveaux défis sécuritaires auxquels ils sont confrontés. La 2ème édition du salon Shield Africa est articulée autour des thématiques de « La piraterie maritime » et « la gestion des catastrophes ».
Ces thèmes d’actualité en Afrique feront l’objet de conférences, qui seront présentées par
plusieurs spécialistes venus notamment de la Guardia Civil espagnole, du FBI, d’Oracle, de la Banque Mondiale ou encore de l’organisme américain South Asia & Africa Regional Port Stability Cooperative.
Pendant trois jours, du 6 au 8 mai 2014, une centaine de professionnels du secteur venus du monde entier (États-Unis, France, Grande-Bretagne, Israël...) rencontreront des délégations officielles représentant une trentaine de pays, la plupart en Afrique. Les ministres chargés de la sécurité (Intérieur et/ou Défense) ou les chefs d’État-Major des pays suivants ont déjà confirmé leur participation : Algérie, Angola, Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Corée du Sud, Côte d’Ivoire, Egypte, Gabon, Haïti, Israël, Liberia, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, RD-Congo, Soudan, Tchad, Tunisie.
Pour sa deuxième édition, ShieldAfrica a choisi de mettre Haïti à l’honneur. Quatre ans après le terrible séisme qui a dévasté une partie du territoire, un membre du gouvernement haïtien viendra présenter les défis de la reconstruction et les enjeux sécuritaires dans son pays, confronté à une violence grandissante dans une société où les clivages économiques se creusent.
Des actions importantes sont entreprises au niveau des dirigeants du Continent pour améliorer l’environnement sécuritaire face aux défis actuels. Au niveau de l’Union Africaine, les instruments mis en place sont notamment l’Architecture Africaine de paix et sécurité (AAPS), la force Africaine en attente et la Capacité Africaine de réaction immédiate aux crises (CARIC). Au niveau de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), une Force en Attente (FAC) est également en cours de mise en œuvre.
Relativement à la sureté et la sécurité dans le Golfe de Guinée, les Chefs d’Etat de l’Afrique centrale et de l’Afrique de l’Ouest, lors de leur rencontre avec la Commission du Golfe de Guinée à Yaoundé au Cameroun du en juin 2013, ont convenu de mutualiser leurs moyens par la mobilisation des moyens opérationnels adéquats tant institutionnels que logistiques pour mettre un terme à la piraterie à travers des actions concrètes.
ShieldAfrica’2014 donnera l’occasion aux participants d’évoquer les perspectives nationales et communautaires ainsi que les dernières avancées en matière de défense, de sécurité intérieure et de protection civile, a conclu le ministre Paul Koffi Koffi.
Selon le ministre auprès du Président de la République chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi il s’agira au cours de ce salon pour tous, décideurs, professionnels, experts et organisateurs du salon de converger sur la nécessité d’une synergie d’action dans la résolution des problèmes sécuritaires.
Ce n’est un secret pour personne quant au fait que les pays africains ont besoin de s’adapter aux nouveaux défis sécuritaires auxquels ils sont confrontés. La 2ème édition du salon Shield Africa est articulée autour des thématiques de « La piraterie maritime » et « la gestion des catastrophes ».
Ces thèmes d’actualité en Afrique feront l’objet de conférences, qui seront présentées par
plusieurs spécialistes venus notamment de la Guardia Civil espagnole, du FBI, d’Oracle, de la Banque Mondiale ou encore de l’organisme américain South Asia & Africa Regional Port Stability Cooperative.
Pendant trois jours, du 6 au 8 mai 2014, une centaine de professionnels du secteur venus du monde entier (États-Unis, France, Grande-Bretagne, Israël...) rencontreront des délégations officielles représentant une trentaine de pays, la plupart en Afrique. Les ministres chargés de la sécurité (Intérieur et/ou Défense) ou les chefs d’État-Major des pays suivants ont déjà confirmé leur participation : Algérie, Angola, Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Corée du Sud, Côte d’Ivoire, Egypte, Gabon, Haïti, Israël, Liberia, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, RD-Congo, Soudan, Tchad, Tunisie.
Pour sa deuxième édition, ShieldAfrica a choisi de mettre Haïti à l’honneur. Quatre ans après le terrible séisme qui a dévasté une partie du territoire, un membre du gouvernement haïtien viendra présenter les défis de la reconstruction et les enjeux sécuritaires dans son pays, confronté à une violence grandissante dans une société où les clivages économiques se creusent.
Des actions importantes sont entreprises au niveau des dirigeants du Continent pour améliorer l’environnement sécuritaire face aux défis actuels. Au niveau de l’Union Africaine, les instruments mis en place sont notamment l’Architecture Africaine de paix et sécurité (AAPS), la force Africaine en attente et la Capacité Africaine de réaction immédiate aux crises (CARIC). Au niveau de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), une Force en Attente (FAC) est également en cours de mise en œuvre.
Relativement à la sureté et la sécurité dans le Golfe de Guinée, les Chefs d’Etat de l’Afrique centrale et de l’Afrique de l’Ouest, lors de leur rencontre avec la Commission du Golfe de Guinée à Yaoundé au Cameroun du en juin 2013, ont convenu de mutualiser leurs moyens par la mobilisation des moyens opérationnels adéquats tant institutionnels que logistiques pour mettre un terme à la piraterie à travers des actions concrètes.
ShieldAfrica’2014 donnera l’occasion aux participants d’évoquer les perspectives nationales et communautaires ainsi que les dernières avancées en matière de défense, de sécurité intérieure et de protection civile, a conclu le ministre Paul Koffi Koffi.