La justice libérienne a libéré cinq des dix-huit mercenaires accusés d'avoir assassiné en juin 2012 dans l'Ouest ivoirien, sept casques bleus nigériens de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI), a appris APA, dimanche, de bonnes sources dans la capitale économique ivoirienne.
Selon ces sources, Christopher Laykpayee, Emmanuel Pewee, Fred Chelly, Junior Gelor et Timothy Barlee ont été libérés pour "insuffisance de preuve".
Le juge Emery Paye, ajoutent les mêmes sources "a estimé que les éléments de preuve notamment d'armes à feu n'étaient pas suffisants" contre ces personnes.
Quant aux onze autres, ils connaitront leur sort à l'issue du procès qui se poursuit à Moronvia, la capitale libérienne.
Sept militaires du contingent nigérien de l'ONUCI avaient été tués, le 8 juin 2012 dans une embuscade, alors qu'ils patrouillaient dans la zone Sud de la petite ville de Taï à l'Ouest de la Côte d'Ivoire.
Il s'agissait de "la première attaque de ce genre" visant les Casques bleus.
LS/APA
Selon ces sources, Christopher Laykpayee, Emmanuel Pewee, Fred Chelly, Junior Gelor et Timothy Barlee ont été libérés pour "insuffisance de preuve".
Le juge Emery Paye, ajoutent les mêmes sources "a estimé que les éléments de preuve notamment d'armes à feu n'étaient pas suffisants" contre ces personnes.
Quant aux onze autres, ils connaitront leur sort à l'issue du procès qui se poursuit à Moronvia, la capitale libérienne.
Sept militaires du contingent nigérien de l'ONUCI avaient été tués, le 8 juin 2012 dans une embuscade, alors qu'ils patrouillaient dans la zone Sud de la petite ville de Taï à l'Ouest de la Côte d'Ivoire.
Il s'agissait de "la première attaque de ce genre" visant les Casques bleus.
LS/APA