Bouaké - Un comité régional de lutte contre les grossesses en milieu scolaire, présidé par le préfet de région, a été installé à Bouaké, pour pérenniser la lutte dans le Gbèkè.
Le comité, comprenant notamment un représentant du préfet, deux représentants des directions régionales de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, un représentant de la direction régionale de la Santé et de la Lutte contre le Sida, un représentant des organisations de la société civile, a été présenté au cours d’une campagne de sensibilisation samedi.
La secrétaire générale 2 de la préfecture de Bouaké, Loboué née Michèle Hortense Amani, a exhorté les membres de ce comité à tout mettre en œuvre pour la poursuite de la sensibilisation sur le terrain, en vue de faire reculer le phénomène.
Le coordonnateur du sous-bureau de l’UNFPA à Bouaké, Dr Ambroise Ané, a réitéré la disponibilité de l’institution à soutenir les actions du gouvernement ivoirien dans la lutte pour l’atteinte de l’objectif « Zéro grossesse à l’école ».
Le directeur régional de l’Education nationale et de l’enseignement technique 1, Kékémo Daniel, a rappelé que, l’année dernière, 150 cas de grossesses d’élèves filles ont été enregistrés dans les deux directions régionales.
Au terme des deux premiers trimestres de l’année en cours, plus 100 cas, dont cinq dans le primaire, sont déjà signalés.
Les auteurs des grossesses sont à 40% des élèves garçons, 4% des enseignants et encadreurs et à 56% des personnes extérieures à l’école, a expliqué M. Kékémo.
Nbf/kp
Le comité, comprenant notamment un représentant du préfet, deux représentants des directions régionales de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, un représentant de la direction régionale de la Santé et de la Lutte contre le Sida, un représentant des organisations de la société civile, a été présenté au cours d’une campagne de sensibilisation samedi.
La secrétaire générale 2 de la préfecture de Bouaké, Loboué née Michèle Hortense Amani, a exhorté les membres de ce comité à tout mettre en œuvre pour la poursuite de la sensibilisation sur le terrain, en vue de faire reculer le phénomène.
Le coordonnateur du sous-bureau de l’UNFPA à Bouaké, Dr Ambroise Ané, a réitéré la disponibilité de l’institution à soutenir les actions du gouvernement ivoirien dans la lutte pour l’atteinte de l’objectif « Zéro grossesse à l’école ».
Le directeur régional de l’Education nationale et de l’enseignement technique 1, Kékémo Daniel, a rappelé que, l’année dernière, 150 cas de grossesses d’élèves filles ont été enregistrés dans les deux directions régionales.
Au terme des deux premiers trimestres de l’année en cours, plus 100 cas, dont cinq dans le primaire, sont déjà signalés.
Les auteurs des grossesses sont à 40% des élèves garçons, 4% des enseignants et encadreurs et à 56% des personnes extérieures à l’école, a expliqué M. Kékémo.
Nbf/kp