Abidjan – A l’ouverture des 49èmes Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD), le président de l’institution, Donald Kaberuka, a plaidé jeudi à Kigali (Rwanda), pour la libre circulation des Africains sur le continent.
« J’attends avec intérêt le jour où sera instauré un passeport africain. Ce n’est pas une affaire de sentiment liée à notre africanité. C’est une façon d’approfondir le marché intérieur de l’Afrique, plateforme indispensable à plus de croissance économique et de prospérité », a expliqué M. Kaberuka.
Il a pris exemple sur l’Afrique de l’Est où les gouvernements ont pris des mesures audacieuses en faveur de la libre circulation. En effet, les Etats de cette région ont supprimé l’obligation des passeports, les cartes d’identité nationales étant désormais jugées suffisantes, et bientôt il sera institué des visas communs.
Donald Kaberuka a par ailleurs exhorté les participants à ces assises à prendre des décisions concrètes. Pour lui, l’heure est maintenue venue de passer à la vitesse supérieure, de passer de la croissance économique à la transformation économique, de créer des emplois pour la jeunesse. Autant de questions qui figurent en bonne place dans la Stratégie décennale de la BAD, a-t-il noté.
La politique d’inclusion qui consiste à ne laisser personne en marge du processus n’est pas seulement justifiée, socialement et politiquement, affirme Kaberuka, soulignant qu’elle constitue aussi un impératif économique permettant de renforcer le pouvoir croissant des consommateurs en Afrique.
Quelque 2.500 délégués et invités en provenance des 78 pays membres de la BAD prennent part à ces assemblées annuelles qui s’achèvent vendredi. La Côte d’Ivoire y est représentée par le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Albert Toikeusse Mabri.
« J’attends avec intérêt le jour où sera instauré un passeport africain. Ce n’est pas une affaire de sentiment liée à notre africanité. C’est une façon d’approfondir le marché intérieur de l’Afrique, plateforme indispensable à plus de croissance économique et de prospérité », a expliqué M. Kaberuka.
Il a pris exemple sur l’Afrique de l’Est où les gouvernements ont pris des mesures audacieuses en faveur de la libre circulation. En effet, les Etats de cette région ont supprimé l’obligation des passeports, les cartes d’identité nationales étant désormais jugées suffisantes, et bientôt il sera institué des visas communs.
Donald Kaberuka a par ailleurs exhorté les participants à ces assises à prendre des décisions concrètes. Pour lui, l’heure est maintenue venue de passer à la vitesse supérieure, de passer de la croissance économique à la transformation économique, de créer des emplois pour la jeunesse. Autant de questions qui figurent en bonne place dans la Stratégie décennale de la BAD, a-t-il noté.
La politique d’inclusion qui consiste à ne laisser personne en marge du processus n’est pas seulement justifiée, socialement et politiquement, affirme Kaberuka, soulignant qu’elle constitue aussi un impératif économique permettant de renforcer le pouvoir croissant des consommateurs en Afrique.
Quelque 2.500 délégués et invités en provenance des 78 pays membres de la BAD prennent part à ces assemblées annuelles qui s’achèvent vendredi. La Côte d’Ivoire y est représentée par le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Albert Toikeusse Mabri.