Agboville - Le département d’Agboville est une « région majeure et incontournable » dans le paysage politique de la Côte d’Ivoire, a affirmé Alafé Wakili, journaliste, patron de presse et natif d’Agboville, samedi, lors d’un entretien avec la presse.
M. Alafé a rappelé qu’Agboville a reçu en moins de 12 mois, Pascal Affi N’Guessan, président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition politique), à sa sortie de prison, Soro Guillaume, président du Parlement et la Première dame, Dominique Ouattara.
« Je suis prêt à prendre ma part dans le processus de paix et de réconciliation », a déclaré Alafé Wikili, qui assure qu’Agboville est une région qui compte dans la vie politique en Côte d’Ivoire.
Le journaliste était venu parrainer la fête de l’école Atté Yavo d’Agboville, puis suivre la célébration de la fête des mères, présidée par Mme Ouattara.
Le patron de presse a marqué sa fierté d’être issu de la région d’Agboville. Selon lui, malgré les tensions qui y demeurent, cette localité continue de contribuer à sa façon à la réconciliation nationale et cela mérite d’être encouragé.
Il a promis que bientôt et en d’autres circonstances, il aura l’occasion de revenir pour apporter sa part et sa contribution au processus de normalisation et de paix, aux côtés des autorités administratives et politiques du département.
De fortes tensions entre populations autochtones en majorité et les Forces républicaines de Côte d’ Ivoire (FRCI) existent dans le département, depuis la fin de la crise postélectorale.
Agboville a connu sept attaques de position des FRCI, en 14 mois, avait dénoncé Soro Kigbafori Guillaume, lors de son passage à Agboville, du 10 au 17 mai.
Les cadres, les élus et la chefferie ont réaffirmé leur attachement aux institutions de la République et à son Président, Alassane Ouattara.
dd/cmas
M. Alafé a rappelé qu’Agboville a reçu en moins de 12 mois, Pascal Affi N’Guessan, président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition politique), à sa sortie de prison, Soro Guillaume, président du Parlement et la Première dame, Dominique Ouattara.
« Je suis prêt à prendre ma part dans le processus de paix et de réconciliation », a déclaré Alafé Wikili, qui assure qu’Agboville est une région qui compte dans la vie politique en Côte d’Ivoire.
Le journaliste était venu parrainer la fête de l’école Atté Yavo d’Agboville, puis suivre la célébration de la fête des mères, présidée par Mme Ouattara.
Le patron de presse a marqué sa fierté d’être issu de la région d’Agboville. Selon lui, malgré les tensions qui y demeurent, cette localité continue de contribuer à sa façon à la réconciliation nationale et cela mérite d’être encouragé.
Il a promis que bientôt et en d’autres circonstances, il aura l’occasion de revenir pour apporter sa part et sa contribution au processus de normalisation et de paix, aux côtés des autorités administratives et politiques du département.
De fortes tensions entre populations autochtones en majorité et les Forces républicaines de Côte d’ Ivoire (FRCI) existent dans le département, depuis la fin de la crise postélectorale.
Agboville a connu sept attaques de position des FRCI, en 14 mois, avait dénoncé Soro Kigbafori Guillaume, lors de son passage à Agboville, du 10 au 17 mai.
Les cadres, les élus et la chefferie ont réaffirmé leur attachement aux institutions de la République et à son Président, Alassane Ouattara.
dd/cmas