Dans moins d’un mois, l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, emprisonné à La Haye depuis novembre 2011, saura si les charges retenues contre lui sont confirmées. Pendant ce temps, au pays, son clan s’organise.
Alors que la Cour pénale internationale (CPI) doit se prononcer, mi-juin, sur la confirmation ou non des charges contre l’ex-président ivoirien, ses partisans veulent croire à sa libération prochaine et font flèche de tout bois. Sur les réseaux sociaux, le succès de #BringBackOurGirls ("ramenez nos filles"), le slogan de soutien aux lycéennes du Nigeria, a inspiré une version parodique, #BringBackOurGbagbo ("ramenez notre Gbagbo"). En une semaine, elle a été reprise plus de 3 000 fois sur Twitter, selon le site d’analyse de données topsy.com. Pour les... suite de l'article sur Jeune Afrique
Alors que la Cour pénale internationale (CPI) doit se prononcer, mi-juin, sur la confirmation ou non des charges contre l’ex-président ivoirien, ses partisans veulent croire à sa libération prochaine et font flèche de tout bois. Sur les réseaux sociaux, le succès de #BringBackOurGirls ("ramenez nos filles"), le slogan de soutien aux lycéennes du Nigeria, a inspiré une version parodique, #BringBackOurGbagbo ("ramenez notre Gbagbo"). En une semaine, elle a été reprise plus de 3 000 fois sur Twitter, selon le site d’analyse de données topsy.com. Pour les... suite de l'article sur Jeune Afrique