La pluie ne s'est pas arrêtée sur Abidjan. Il a plu des cordes comme si le ciel participait à sa façon au désastre qui s'abat sur le FPI qui dans un communiqué signé de Akoun Laurent exigeait maladroitement « la libération immédiate et sans condition » de l'ex-Chef de l'Etat.
Les juges internationaux qui, on ne le dira pas, ne sont pas pour une des rares fois, payés, nourris et blanchis par le très puissant Alassane Ouattara, ont bien lu le grand volume de documents déposés sur leur table avant de décider que l'accusé venu de la lagune Ebrié devait passer en jugement. Là où l'on devait et pensait voir un avocat affligé, dénoncé et crier à l'injustice, le français Me Altit Emmanuel saute de joie. Il se réjouit de la décision de la chambre préliminaire I qui a décidé de l'ouverture d'un procès qui comme le disait Eugene Djué, « est lourd et long ».
Apparemment, l'avocat qui ne voit que sa propre publicité accouplée à la manne financière qu'il gagne est le premier à sa satisfaire de cette décision. Quel est cet avocat défenseur qui fait miroiter la libération de son client en clamant partout et de tout temps que « le dossier est vide » est qui de façon implicite vient reconnaître que le dossier a de la matière et de la consistance pour un procès ? Me Altit Emmanuel a un autre agenda que celui de son client qu'il voit et sait condamner à un long purgatoire. Comme un karma inéluctable qui découle des milliers de morts, occasionnés par son refus de reconnaitre sa défaite, pourtant évidente le 28 novembre 2010. Comme le dirait l'autre, Dieu même n'aurait pas accepté que cet homme qui poussé dans le dos par des faux amis, faux prophètes et de faux conseillers a crié : « matez, matez, ne réfléchissez pas, faîtes votre travail nous sommes là pour réfléchir à votre place ». Nul, parmi les sempiternels négateurs de l'évidence au sein du Fpi ne peut nier que l'appel de Divo n'ait pas été entendu. Les mercenaires qui ont tué dès le 16 décembre 2010 ne sont pas arrivés à Abidjan d'eux-mêmes, ceux venus du Liberia qui ont tué avec des miliciens l'imam Konaté à Duekoué (un homme réputé modéré, qui animait sur la radio la voix du Guémon une émission sur la cohésion sociale) ont été recrutés par des cadres du FPI qui ont reçu de l'argent. Et toute cette stratégie rentrait dans la vision de la sauvegarde du régime du « nouveau messie » Laurent Gbagbo, venu sauver l'Afrique du joug des Blancs. Pourtant, sans honte, ces panafricanistes aux têtes fêlées sont tous en France que Me Altit entrevoit comme le fondement de sa défense. Gbagbo est vraiment perdu.?
Source: lebanco.net
Les juges internationaux qui, on ne le dira pas, ne sont pas pour une des rares fois, payés, nourris et blanchis par le très puissant Alassane Ouattara, ont bien lu le grand volume de documents déposés sur leur table avant de décider que l'accusé venu de la lagune Ebrié devait passer en jugement. Là où l'on devait et pensait voir un avocat affligé, dénoncé et crier à l'injustice, le français Me Altit Emmanuel saute de joie. Il se réjouit de la décision de la chambre préliminaire I qui a décidé de l'ouverture d'un procès qui comme le disait Eugene Djué, « est lourd et long ».
Apparemment, l'avocat qui ne voit que sa propre publicité accouplée à la manne financière qu'il gagne est le premier à sa satisfaire de cette décision. Quel est cet avocat défenseur qui fait miroiter la libération de son client en clamant partout et de tout temps que « le dossier est vide » est qui de façon implicite vient reconnaître que le dossier a de la matière et de la consistance pour un procès ? Me Altit Emmanuel a un autre agenda que celui de son client qu'il voit et sait condamner à un long purgatoire. Comme un karma inéluctable qui découle des milliers de morts, occasionnés par son refus de reconnaitre sa défaite, pourtant évidente le 28 novembre 2010. Comme le dirait l'autre, Dieu même n'aurait pas accepté que cet homme qui poussé dans le dos par des faux amis, faux prophètes et de faux conseillers a crié : « matez, matez, ne réfléchissez pas, faîtes votre travail nous sommes là pour réfléchir à votre place ». Nul, parmi les sempiternels négateurs de l'évidence au sein du Fpi ne peut nier que l'appel de Divo n'ait pas été entendu. Les mercenaires qui ont tué dès le 16 décembre 2010 ne sont pas arrivés à Abidjan d'eux-mêmes, ceux venus du Liberia qui ont tué avec des miliciens l'imam Konaté à Duekoué (un homme réputé modéré, qui animait sur la radio la voix du Guémon une émission sur la cohésion sociale) ont été recrutés par des cadres du FPI qui ont reçu de l'argent. Et toute cette stratégie rentrait dans la vision de la sauvegarde du régime du « nouveau messie » Laurent Gbagbo, venu sauver l'Afrique du joug des Blancs. Pourtant, sans honte, ces panafricanistes aux têtes fêlées sont tous en France que Me Altit entrevoit comme le fondement de sa défense. Gbagbo est vraiment perdu.?
Source: lebanco.net