Dimbokro– Initié par le programme Côte d’Ivoire Transition Initiative (CITI), en collaboration avec le ministère de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques, un atelier se tient de lundi à vendredi, à Dimbokro, en vue d’identifier des problèmes et rechercher des solutions à l’accès des populations aux services de la section de tribunal de cette localité.
C’est une activité voulue et autorisée par le ministère de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques et qui se tient dans plusieurs régions de la Côte d’Ivoire est financée par l’USAID, indique-t-on.
Selon M. koné Mori, président de la section de tribunal de Dimbokro, cet atelier vise à poser un diagnostic pour recenser les problèmes dans le fonctionnement des services de cette structure judiciaire et à trouver des solutions en vue d’améliorer ces services au profit des populations.
"Cet atelier est initié dans le cadre du renforcement du système judiciaire en Côte d’Ivoire... Un pays ne peut prétendre à l’émergence si son système judiciaire n’est pas performant. C’est pourquoi l’USAID a réhabilité, équipé une dizaine de tribunaux dont la section de Dimbokro. En outre il y a eu la formation des magistrats, préliminaire au bon fonctionnement de la justice", a expliqué M. Koné.
Puis le magistrat a rassuré qu’avec la tenue de cet atelier, "beaucoup d’incompréhensions" vont être levées, afin que l’on ait une "justice accessible à tous", avec la "disparition de tous les préjugés" au sein des populations.
De lundi à jeudi, deux ateliers permettront à la cinquantaine de participants notamment les acteurs du système judiciaire, la police, la gendarmerie, le secteur de l’éducation, la santé, la société civile, les religieux, les médias et les chefs communautaires, de travailler en commissions pour répertorier des problèmes et proposer des solutions.
Ces travaux seront sanctionnés par l’élaboration de propositions et la mise en place d’un comité de suivi pour l’accessibilité des services de la section de tribunal aux populations de Dimbokro.
Vendredi, une journée porte ouverte sera organisée à la section de tribunal de Dimbokro qui dépend du tribunal de première instance de Bouaké, rappelle-t-on.
(AIP)
zgrp/ask
C’est une activité voulue et autorisée par le ministère de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques et qui se tient dans plusieurs régions de la Côte d’Ivoire est financée par l’USAID, indique-t-on.
Selon M. koné Mori, président de la section de tribunal de Dimbokro, cet atelier vise à poser un diagnostic pour recenser les problèmes dans le fonctionnement des services de cette structure judiciaire et à trouver des solutions en vue d’améliorer ces services au profit des populations.
"Cet atelier est initié dans le cadre du renforcement du système judiciaire en Côte d’Ivoire... Un pays ne peut prétendre à l’émergence si son système judiciaire n’est pas performant. C’est pourquoi l’USAID a réhabilité, équipé une dizaine de tribunaux dont la section de Dimbokro. En outre il y a eu la formation des magistrats, préliminaire au bon fonctionnement de la justice", a expliqué M. Koné.
Puis le magistrat a rassuré qu’avec la tenue de cet atelier, "beaucoup d’incompréhensions" vont être levées, afin que l’on ait une "justice accessible à tous", avec la "disparition de tous les préjugés" au sein des populations.
De lundi à jeudi, deux ateliers permettront à la cinquantaine de participants notamment les acteurs du système judiciaire, la police, la gendarmerie, le secteur de l’éducation, la santé, la société civile, les religieux, les médias et les chefs communautaires, de travailler en commissions pour répertorier des problèmes et proposer des solutions.
Ces travaux seront sanctionnés par l’élaboration de propositions et la mise en place d’un comité de suivi pour l’accessibilité des services de la section de tribunal aux populations de Dimbokro.
Vendredi, une journée porte ouverte sera organisée à la section de tribunal de Dimbokro qui dépend du tribunal de première instance de Bouaké, rappelle-t-on.
(AIP)
zgrp/ask
