Monsieur le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, président du Conseil Régional de la Marahoué, et sa tendre épouse, la vitrine de sa vie,
Monsieur le Préfet de Région, Préfet du département de Bouaflé,
Mesdames et messieurs les chefs de services
Mesdames et messieurs les élus et cadres de la Marahoué,
Honorables chefs coutumiers,
Vénérés chefs des cultes,
Mesdames et messieurs les membres du corps de sécurité,
Chers amis de la presse,
Les mamans adorées, chères sœurs,
Mesdames et messieurs,
Je suis heureuse d’être parmi vous, en ce jour de la fête des mères spécialement décalée. Ma joie est aussi grande de vous voir tous radieux et nombreux autour des mamans, les reines de la beauté de ce jour. La fête des mères est reportée, à ce jour, pour Bouaflé qui entretient un secret avec moi. Oui, le secret, c’est que Bouaflé est ma ville de naissance. Ma visite ici est donc celle des retrouvailles et de la reconnaissance à ma terre natale. C’est une visite de retour aux sources.
Cela dit, je voudrais vous transmettre les chaleureuses salutations de votre frère et ami, le Président Henri Konan BEDIE. Il m’a chargée de vous traduire sa compassion pour toutes les atrocités que vous avez connues, lors de la crise postélectorale. Il m’a aussi demandé de vous exprimer son vif soutien pour les effets subis de cette crise dont les cicatrices sont encore dans nos mémoires.. A mon tour et au nom de la délégation qui m’accompagne, je vous salue et vous remercie de l’accueil si chaleureux et si fraternel que vous avez bien voulu nous réserver.
En l’associant à mon élan de considération à chacun de vous, je me permets de citer votre fils, mon bien-aimé Charles DIBY, qui a pour devise : «Retour d’Expérience: des Raisons d’Espérer». Chers frères et sœurs, chers parents, notre fils Charles, avec ces simples mots, nous donne un enseignement profond. Il s’agit d’une invite à tout positiver. Tournons donc la page du passé noir, regardons devant, car l’espoir nous attend à l’horizon. C’est pour vivre cet espoir avec vous que je suis là, chez moi à Bouaflé, en ce beau jour de reconnaissance aux mamans.
La vie est le cadeau le plus grand que Dieu nous donne et, là où nous naissons est notre source de vie et de bénédictions. Je suis donc revenue à ma source pour prendre des forces sous le soleil de mon enfance, sur la terre de mes premiers pas et respirer l’air qui a embrassé ma venue au monde. Bouaflé m’a donc tout donné, Bouaflé m’a donné mon fils Charles, l’enfant prodige, Charles le diplomate, Charles l’économiste et le financier, Charles l’administrateur, Charles le manager-écrivain, Charles le ministre, Charles le président du conseil régional, Charles mon trésor, Charles la lumière du futur.
Chères mamans, chères sœurs, je suis venue à Bouaflé vous dire merci pour tout le bien que vous pensez de Charles. Je suis venue le féliciter pour les efforts qu’il accomplit au bien du pays et des populations de Bouaflé. Félicitations, mon fils Charles. Chères sœurs les mamans, bravo à vous, je vous ai envoyé des cadeaux assez modestes, mais, chacune aura sa part, pour vous encourager à tenir bon. À toutes les veuves et leurs orphelins, j’ai une pensée affectueuse et des prières. Que Dieu vous comble de bonheur et vous donne la force devant l’épreuve. Je ne saurais terminer ma communication sans louer les mérites de ma très chère sœur, le ministre Léopoldine COFFIE, pour cette grande mobilisation réussie qui ne m’étonne guère d’elle. Merci, ma sœur. Je n’oublie pas non plus de saluer tous ceux, très nombreux, qui ont pris de leur temps pour faire le déplacement de Bouaflé. Qu’ils le sachent tous et que chacun le sache, mon petit cœur bat au rythme de mon plein amour pour tous. Bonne fête mamans. Je vous remercie.
Monsieur le Préfet de Région, Préfet du département de Bouaflé,
Mesdames et messieurs les chefs de services
Mesdames et messieurs les élus et cadres de la Marahoué,
Honorables chefs coutumiers,
Vénérés chefs des cultes,
Mesdames et messieurs les membres du corps de sécurité,
Chers amis de la presse,
Les mamans adorées, chères sœurs,
Mesdames et messieurs,
Je suis heureuse d’être parmi vous, en ce jour de la fête des mères spécialement décalée. Ma joie est aussi grande de vous voir tous radieux et nombreux autour des mamans, les reines de la beauté de ce jour. La fête des mères est reportée, à ce jour, pour Bouaflé qui entretient un secret avec moi. Oui, le secret, c’est que Bouaflé est ma ville de naissance. Ma visite ici est donc celle des retrouvailles et de la reconnaissance à ma terre natale. C’est une visite de retour aux sources.
Cela dit, je voudrais vous transmettre les chaleureuses salutations de votre frère et ami, le Président Henri Konan BEDIE. Il m’a chargée de vous traduire sa compassion pour toutes les atrocités que vous avez connues, lors de la crise postélectorale. Il m’a aussi demandé de vous exprimer son vif soutien pour les effets subis de cette crise dont les cicatrices sont encore dans nos mémoires.. A mon tour et au nom de la délégation qui m’accompagne, je vous salue et vous remercie de l’accueil si chaleureux et si fraternel que vous avez bien voulu nous réserver.
En l’associant à mon élan de considération à chacun de vous, je me permets de citer votre fils, mon bien-aimé Charles DIBY, qui a pour devise : «Retour d’Expérience: des Raisons d’Espérer». Chers frères et sœurs, chers parents, notre fils Charles, avec ces simples mots, nous donne un enseignement profond. Il s’agit d’une invite à tout positiver. Tournons donc la page du passé noir, regardons devant, car l’espoir nous attend à l’horizon. C’est pour vivre cet espoir avec vous que je suis là, chez moi à Bouaflé, en ce beau jour de reconnaissance aux mamans.
La vie est le cadeau le plus grand que Dieu nous donne et, là où nous naissons est notre source de vie et de bénédictions. Je suis donc revenue à ma source pour prendre des forces sous le soleil de mon enfance, sur la terre de mes premiers pas et respirer l’air qui a embrassé ma venue au monde. Bouaflé m’a donc tout donné, Bouaflé m’a donné mon fils Charles, l’enfant prodige, Charles le diplomate, Charles l’économiste et le financier, Charles l’administrateur, Charles le manager-écrivain, Charles le ministre, Charles le président du conseil régional, Charles mon trésor, Charles la lumière du futur.
Chères mamans, chères sœurs, je suis venue à Bouaflé vous dire merci pour tout le bien que vous pensez de Charles. Je suis venue le féliciter pour les efforts qu’il accomplit au bien du pays et des populations de Bouaflé. Félicitations, mon fils Charles. Chères sœurs les mamans, bravo à vous, je vous ai envoyé des cadeaux assez modestes, mais, chacune aura sa part, pour vous encourager à tenir bon. À toutes les veuves et leurs orphelins, j’ai une pensée affectueuse et des prières. Que Dieu vous comble de bonheur et vous donne la force devant l’épreuve. Je ne saurais terminer ma communication sans louer les mérites de ma très chère sœur, le ministre Léopoldine COFFIE, pour cette grande mobilisation réussie qui ne m’étonne guère d’elle. Merci, ma sœur. Je n’oublie pas non plus de saluer tous ceux, très nombreux, qui ont pris de leur temps pour faire le déplacement de Bouaflé. Qu’ils le sachent tous et que chacun le sache, mon petit cœur bat au rythme de mon plein amour pour tous. Bonne fête mamans. Je vous remercie.
