Abidjan - Le président et le vice-président de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG, opposition libérale), respectivement Cellou Dalein Diallo et Bah Oury, se sont retrouvés la semaine dernière à Dakar (Sénégal), pour sceller la paix, après deux ans de brouille.
De sources proches de l’UFDG, les deux hommes se sont serrés la main devant le président de la Coordination des Haaly Pular, El Hadj Saikou Yaya Barry, qui a mené la médiation. Puis, le vice-président Bah Oury a effectué une visite de courtoisie, dimanche, à Cellou Dalein Diallo, à son hôtel.
L’UFDG, le principal parti d’opposition en Guinée, avec 37 députés à l’hémicycle, est secoué depuis près de quatre ans par une crise interne et de leadership. Bah Oury et ses partisans d’un côté et de l’autre, Mamadou Cellou Dalein Diallo et ses proches. Deux camps qui s’envoyaient régulièrement par médias interposés, des piques autour de la gestion du parti.
En exil depuis 2011, Bah Oury, fondateur de l’UFDG, n’a cessé de dénoncer « la politique amorphe » de son président face au pouvoir qu’il qualifie d’agressif. La crise avait atteint son paroxysme lorsque le bureau politique national de l’UFDG a suspendu M. Bah, en exil, pour insubordination.
Après plusieurs mois de négociation, les deux hauts responsables de l’UFDG ont enfin promis, devant les sages, de tourner les pages difficiles de leurs relations et faire face à l’avenir.
cmas
De sources proches de l’UFDG, les deux hommes se sont serrés la main devant le président de la Coordination des Haaly Pular, El Hadj Saikou Yaya Barry, qui a mené la médiation. Puis, le vice-président Bah Oury a effectué une visite de courtoisie, dimanche, à Cellou Dalein Diallo, à son hôtel.
L’UFDG, le principal parti d’opposition en Guinée, avec 37 députés à l’hémicycle, est secoué depuis près de quatre ans par une crise interne et de leadership. Bah Oury et ses partisans d’un côté et de l’autre, Mamadou Cellou Dalein Diallo et ses proches. Deux camps qui s’envoyaient régulièrement par médias interposés, des piques autour de la gestion du parti.
En exil depuis 2011, Bah Oury, fondateur de l’UFDG, n’a cessé de dénoncer « la politique amorphe » de son président face au pouvoir qu’il qualifie d’agressif. La crise avait atteint son paroxysme lorsque le bureau politique national de l’UFDG a suspendu M. Bah, en exil, pour insubordination.
Après plusieurs mois de négociation, les deux hauts responsables de l’UFDG ont enfin promis, devant les sages, de tourner les pages difficiles de leurs relations et faire face à l’avenir.
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