Jeudi 26 juin, l’ancien président ivoirien publie, en collaboration avec le journaliste François Mattei, une véritable mise au point, sa vérité sur la crise ivoirienne et sur les agissements de ceux qu’il considère comme ses bourreaux : Dominique de Villepin, Nicolas Sarkozy, Henri Konan Bédié, Guillaume Soro et, bien sûr, Alassane Ouattara.
C’est un livre que beaucoup d’observateurs attendaient. Celui d’un passionné d’ouvrages anciens qui choisit, depuis sa cellule de Scheveningen, et en attendant son procès à la Cour pénale internationale (CPI), de coucher ses vérités sur le papier. Pour les Ivoiriens d’abord. Pour ses anciens adversaires ensuite. La meilleure défense, semble dire Laurent Gbagbo, c’est l’attaque. suite de l'article sur Jeune Afrique
C’est un livre que beaucoup d’observateurs attendaient. Celui d’un passionné d’ouvrages anciens qui choisit, depuis sa cellule de Scheveningen, et en attendant son procès à la Cour pénale internationale (CPI), de coucher ses vérités sur le papier. Pour les Ivoiriens d’abord. Pour ses anciens adversaires ensuite. La meilleure défense, semble dire Laurent Gbagbo, c’est l’attaque. suite de l'article sur Jeune Afrique