Abidjan – Le directeur de l’Institut des sciences et techniques de la communication (ISTC), Alfred Dan Moussa, a lancé jeudi un plaidoyer pour la rénovation des bâtiments, vieux de 50 ans, et pour le renouvellement du matériel, lors de la cérémonie d’ouverture de la 11ème édition des Journées du communicateur (J’Com).
"L’ISTC a certes 22 ans. Mais, les installations, elles, sont bien loin dans le temps. C’est pourquoi, il apparaît nécessaire de faire une toilette digne des 50 ans de ses bâtiments", a souhaité Dan Moussa citant les "fondations, les murs, la plomberie, l’électricité, les toitures, les portes et fenêtres", ainsi que l’agrandissement de sa capacité d’accueil.
"Doté d’équipements qui évoluent à une vitesse d’éclair, l’ISTC attend de renouveler et de renforcer les éléments de sa technicité et de son expertise", a-t-il encore indiqué au ministre de la Communication, Affoussiata Bamba-Lamine, présidente de la cérémonie.
Il a enfin plaidé pour l’octroi de bourses étrangères aux étudiants et aux enseignants afin de participer à l’espace « Ecoles » du Festival panafricain des arts et de la culture de Ouagadougou (FESPACO) ou aux compétitions similaires existant partout ailleurs.
La qualité de la formation dispensée par l’ISTC qui reçoit des étudiants de 18 nationalités incombe à ses infrastructures, à l’expertise de ses enseignants, à son programme et à sa pédagogie qui accordent l’essentiel du volume horaire à la pratique. "Dès lors, il devient urgent de revisiter ces paramètres et de les remettre à niveau", a-t-il insisté.
Les J’Com qui ont démarré jeudi s’achèvent ce vendredi. Elles sont l’occasion pour les étudiants de la Licence professionnelle ou du Master professionnel, en fin de formation, de présenter leur savoir-faire aux professionnels du monde de l’information et de la communication, aux chefs d’entreprises, aux décideurs et au grand public.
(AIP)
Aaa/kkp/tm
"L’ISTC a certes 22 ans. Mais, les installations, elles, sont bien loin dans le temps. C’est pourquoi, il apparaît nécessaire de faire une toilette digne des 50 ans de ses bâtiments", a souhaité Dan Moussa citant les "fondations, les murs, la plomberie, l’électricité, les toitures, les portes et fenêtres", ainsi que l’agrandissement de sa capacité d’accueil.
"Doté d’équipements qui évoluent à une vitesse d’éclair, l’ISTC attend de renouveler et de renforcer les éléments de sa technicité et de son expertise", a-t-il encore indiqué au ministre de la Communication, Affoussiata Bamba-Lamine, présidente de la cérémonie.
Il a enfin plaidé pour l’octroi de bourses étrangères aux étudiants et aux enseignants afin de participer à l’espace « Ecoles » du Festival panafricain des arts et de la culture de Ouagadougou (FESPACO) ou aux compétitions similaires existant partout ailleurs.
La qualité de la formation dispensée par l’ISTC qui reçoit des étudiants de 18 nationalités incombe à ses infrastructures, à l’expertise de ses enseignants, à son programme et à sa pédagogie qui accordent l’essentiel du volume horaire à la pratique. "Dès lors, il devient urgent de revisiter ces paramètres et de les remettre à niveau", a-t-il insisté.
Les J’Com qui ont démarré jeudi s’achèvent ce vendredi. Elles sont l’occasion pour les étudiants de la Licence professionnelle ou du Master professionnel, en fin de formation, de présenter leur savoir-faire aux professionnels du monde de l’information et de la communication, aux chefs d’entreprises, aux décideurs et au grand public.
(AIP)
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