Le Bureau du Procureur Fatou Bensouda de la Cour pénale internationale (CPI) a créé, vendredi, un comité consultatif scientifique en vue de renforcer les capacités du Bureau pour la collecte, le traitement et l’analyse des preuves scientifiques des enquêtes et poursuites.
Selon le communiqué dont APA s'est procuré copie, le Comité conseillera le Procureur sur les « dernières avancées en matière de nouvelles technologies et de méthodes et procédures scientifiques innovantes » susceptibles de renforcer les capacités du Bureau pour la collecte, le traitement et l'analyse des preuves scientifiques liées aux enquêtes et aux poursuites relatives aux crimes de génocide, aux crimes contre l'humanité et aux crimes de guerre » .
« Le travail du Comité sera essentiel aux efforts du Bureau, tels que décrits dans sa nouvelle Stratégie, visant à renforcer ses capacités d'enquête et à améliorer la qualité de ses résultats en matière de collecte et d'analyse des preuves scientifiques », a déclaré Fatou Bensouda.
Pour le Procureur, le potentiel d'apport innovant du Comité est infini, non seulement du fait de l'étendue des connaissances et de l'expertise de ses membres mais également en raison de la richesse de la diversité, notamment géographique, de sa composition.
La réunion inaugurale du Comité a, déjà, analysé et certifié quatre procédures de fonctionnement standard du Bureau, relatives entre autres au « recouvrement de restes humains, aux autopsies et aux examens cliniques médico-légaux » ainsi qu' « aux examens de scènes de crimes », souligne le texte.
«Il ne s'agit pas d'un mariage de convenance entre la loi et l'innovation scientifique, mais d'une nécessité, et ensemble, ils forment en effet un couple puissant » a conseillé Fatou Bensouda.
Le Comité, composé de 16 membres, se réunira une fois par an, sous la présidence de son président élu, le professeur portugais Duarte Nuno Vieira.
HS/ls/APA
Selon le communiqué dont APA s'est procuré copie, le Comité conseillera le Procureur sur les « dernières avancées en matière de nouvelles technologies et de méthodes et procédures scientifiques innovantes » susceptibles de renforcer les capacités du Bureau pour la collecte, le traitement et l'analyse des preuves scientifiques liées aux enquêtes et aux poursuites relatives aux crimes de génocide, aux crimes contre l'humanité et aux crimes de guerre » .
« Le travail du Comité sera essentiel aux efforts du Bureau, tels que décrits dans sa nouvelle Stratégie, visant à renforcer ses capacités d'enquête et à améliorer la qualité de ses résultats en matière de collecte et d'analyse des preuves scientifiques », a déclaré Fatou Bensouda.
Pour le Procureur, le potentiel d'apport innovant du Comité est infini, non seulement du fait de l'étendue des connaissances et de l'expertise de ses membres mais également en raison de la richesse de la diversité, notamment géographique, de sa composition.
La réunion inaugurale du Comité a, déjà, analysé et certifié quatre procédures de fonctionnement standard du Bureau, relatives entre autres au « recouvrement de restes humains, aux autopsies et aux examens cliniques médico-légaux » ainsi qu' « aux examens de scènes de crimes », souligne le texte.
«Il ne s'agit pas d'un mariage de convenance entre la loi et l'innovation scientifique, mais d'une nécessité, et ensemble, ils forment en effet un couple puissant » a conseillé Fatou Bensouda.
Le Comité, composé de 16 membres, se réunira une fois par an, sous la présidence de son président élu, le professeur portugais Duarte Nuno Vieira.
HS/ls/APA