Abidjan (Côte d’Ivoire) - La 56è session ministérielle de la Conférence des ministres de l’éducation des Etats et gouvernements membres de la Francophonie (CONFEMEN) s’est ouverte, jeudi soir, à Abidjan autour du thème « éducation inclusive et de qualité pour tous en Francophonie : défis, priorités et perspectives pour l’après 2015».
Dans son allocution, la ministre de l’éducation nationale et de l’enseignement technique de Côte d’Ivoire, Kandia Kamissoko Camara a exprimé la fierté de son pays d’accueillir ces assises.
"Notre pays est en pleine reconstruction (...)", a-t-elle rappelé en ajoutant que "cette reconstruction prend en compte la mise en état du système scolaire". Selon Mme Camara, après les difficultés, "nous sommes en train de remonter la pente".
"La Côte d’Ivoire aspire à jouer sa partition pleine et entière au sein de la CONFEMEN", a poursuivi la ministre de l’éducation nationale et de l’enseignement technique, soulignant la détermination du gouvernement à "gagner la bataille de l’éducation".
S’intéressant au thème de ces assises de la capitale économique ivoirienne, Kandia Camara relevé qu’elles permettront de "nourrir une réflexion pour une école féconde dans l’espace francophone" en menant des "débats constructifs et fructueux". Elle a rendu un vibrant hommage au président sortant de la CONFEMEN, le ministre tchadien de l’éducation nationale Ahmat Mahamat Acyl.
A sa suite, le Secrétaire général de la CONFEMEN Jacques Boureima Ky a dévoilé les différents sujets inscrits au menu de cette 56è session ministérielle, financée par la Banque islamique de développement (BID) à hauteur de 100 millions de FCFA.
"L’éducation doit être placée au cœur du programme mondial de développement", a-t-il soutenu. Quant au représentant du Secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie Abdou Diouf, il a insisté sur les défis de l’accès à l’éducation.
Le président en exercice sortant de la Conférence, le ministre tchadien de l’éducation nationale Ahmat Mahamat Acyl a abondé dans le même sens en mettant en relief les enjeux de cette 56è session dont l’ouverture a été marquée par le passage du maillet et du fanion à la nouvelle présidente en exercice de la CONFEMEN, Kandia Kamissoko Camara pour les deux prochaines années.
Plusieurs membres du gouvernement et des présidents d’institution dont la Grande chancelière Henriette Dagri Diabaté et la première Vice-présidente de l’Assemblée nationale Fadiga Sara Sacko ont participé à cette cérémonie.
Le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan, Président de cette cérémonie a été représenté par son ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko. Les travaux qui ont démarré le 3 juillet dernier par les réflexions des experts, s’achèvent samedi.
La CONFEMEN est la plus ancienne institution de la Francophonie. Depuis sa création en 1960, elle œuvre pour la promotion de l’éducation et de la formation professionnelle et technique. La CONFEMEN représente un espace de valeurs partagées, d’expertise et de solidarité agissante dans lequel s’enracine leur appartenance au monde francophone. Elle compte aujourd’hui 44 Etats et gouvernements membres.
LS/APA
Dans son allocution, la ministre de l’éducation nationale et de l’enseignement technique de Côte d’Ivoire, Kandia Kamissoko Camara a exprimé la fierté de son pays d’accueillir ces assises.
"Notre pays est en pleine reconstruction (...)", a-t-elle rappelé en ajoutant que "cette reconstruction prend en compte la mise en état du système scolaire". Selon Mme Camara, après les difficultés, "nous sommes en train de remonter la pente".
"La Côte d’Ivoire aspire à jouer sa partition pleine et entière au sein de la CONFEMEN", a poursuivi la ministre de l’éducation nationale et de l’enseignement technique, soulignant la détermination du gouvernement à "gagner la bataille de l’éducation".
S’intéressant au thème de ces assises de la capitale économique ivoirienne, Kandia Camara relevé qu’elles permettront de "nourrir une réflexion pour une école féconde dans l’espace francophone" en menant des "débats constructifs et fructueux". Elle a rendu un vibrant hommage au président sortant de la CONFEMEN, le ministre tchadien de l’éducation nationale Ahmat Mahamat Acyl.
A sa suite, le Secrétaire général de la CONFEMEN Jacques Boureima Ky a dévoilé les différents sujets inscrits au menu de cette 56è session ministérielle, financée par la Banque islamique de développement (BID) à hauteur de 100 millions de FCFA.
"L’éducation doit être placée au cœur du programme mondial de développement", a-t-il soutenu. Quant au représentant du Secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie Abdou Diouf, il a insisté sur les défis de l’accès à l’éducation.
Le président en exercice sortant de la Conférence, le ministre tchadien de l’éducation nationale Ahmat Mahamat Acyl a abondé dans le même sens en mettant en relief les enjeux de cette 56è session dont l’ouverture a été marquée par le passage du maillet et du fanion à la nouvelle présidente en exercice de la CONFEMEN, Kandia Kamissoko Camara pour les deux prochaines années.
Plusieurs membres du gouvernement et des présidents d’institution dont la Grande chancelière Henriette Dagri Diabaté et la première Vice-présidente de l’Assemblée nationale Fadiga Sara Sacko ont participé à cette cérémonie.
Le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan, Président de cette cérémonie a été représenté par son ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko. Les travaux qui ont démarré le 3 juillet dernier par les réflexions des experts, s’achèvent samedi.
La CONFEMEN est la plus ancienne institution de la Francophonie. Depuis sa création en 1960, elle œuvre pour la promotion de l’éducation et de la formation professionnelle et technique. La CONFEMEN représente un espace de valeurs partagées, d’expertise et de solidarité agissante dans lequel s’enracine leur appartenance au monde francophone. Elle compte aujourd’hui 44 Etats et gouvernements membres.
LS/APA