Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara a adressé, vendredi, un message de compassion à ses homologues du Burkina Faso, de l’Algérie et de la France après le crash d’un avion algérien qui a fait la veille, plus d’une centaine de morts dont des Burkinabè, des Algériens et des Français.
La compagnie Air Algérie a annoncé, très tôt jeudi matin, avoir perdu le contact avec son vol AH 5017, parti jeudi de Ouagadougou à destination d'Alger. Le vol qui a quitté Ouagadougou à minuit devait atterrir à 5 h 40 mn dans la capitale algérienne. L'avion, un Boeing 717, a été affrété par Air Algérie auprès d'une compagnie espagnole.
Dans la soirée de jeudi, le chef d'état-major particulier de la présidence burkinabè, le général Gilbert Diendéré, a annoncé à la télévision nationale que l'avion a été retrouvé aux environs de 18 heures par des ‘'éléments'' déployés en territoire malien pour rechercher l'appareil disparu.
L'information du ‘'crash avec aucun survivant'' a été confirmée ce vendredi matin par les autorités françaises, burkinabè et maliennes.
Selon la liste provisoire communiquée par la représentation de la compagnie algérienne au Burkina Faso, l'appareil avait au décollage ''51 Français, 28 Burkinabè, 8 Libanais, 6 Espagnols, 6 Algériens, 5 Canadiens, 4 Allemands, 2 Luxembourgeois, 1 Camerounais, 1 Nigérian, 1 Ukrainien, 1 Suisse, 1 Malien, 1 Belge, 1 Egyptien et 1 Roumain''.
Suite à cette tragédie, le président Compaoré a décrété 48 heures de deuil national, à partir de ce vendredi, à 6 heures du matin.
Dans un communiqué reçu vendredi à APA, l'Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique (ASECNA) explique que "La zone où est survenu l'accident du vol AH501 était le théâtre de formations orageuses potentiellement dangereuses pour un avion".
"Ces phénomènes orageux, ajoute l'ASECNA, avaient été effectivement prévus par les services météorologiques de l'ASECNA et les informations y relatives mises à la disposition de tous les avions susceptibles de survoler cette zone".
LS/APA
La compagnie Air Algérie a annoncé, très tôt jeudi matin, avoir perdu le contact avec son vol AH 5017, parti jeudi de Ouagadougou à destination d'Alger. Le vol qui a quitté Ouagadougou à minuit devait atterrir à 5 h 40 mn dans la capitale algérienne. L'avion, un Boeing 717, a été affrété par Air Algérie auprès d'une compagnie espagnole.
Dans la soirée de jeudi, le chef d'état-major particulier de la présidence burkinabè, le général Gilbert Diendéré, a annoncé à la télévision nationale que l'avion a été retrouvé aux environs de 18 heures par des ‘'éléments'' déployés en territoire malien pour rechercher l'appareil disparu.
L'information du ‘'crash avec aucun survivant'' a été confirmée ce vendredi matin par les autorités françaises, burkinabè et maliennes.
Selon la liste provisoire communiquée par la représentation de la compagnie algérienne au Burkina Faso, l'appareil avait au décollage ''51 Français, 28 Burkinabè, 8 Libanais, 6 Espagnols, 6 Algériens, 5 Canadiens, 4 Allemands, 2 Luxembourgeois, 1 Camerounais, 1 Nigérian, 1 Ukrainien, 1 Suisse, 1 Malien, 1 Belge, 1 Egyptien et 1 Roumain''.
Suite à cette tragédie, le président Compaoré a décrété 48 heures de deuil national, à partir de ce vendredi, à 6 heures du matin.
Dans un communiqué reçu vendredi à APA, l'Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique (ASECNA) explique que "La zone où est survenu l'accident du vol AH501 était le théâtre de formations orageuses potentiellement dangereuses pour un avion".
"Ces phénomènes orageux, ajoute l'ASECNA, avaient été effectivement prévus par les services météorologiques de l'ASECNA et les informations y relatives mises à la disposition de tous les avions susceptibles de survoler cette zone".
LS/APA