Abidjan, Les parties prenantes dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre ont analysé et validé le plan d’engagement de la Côte d’Ivoire, afin de permettre la mise en œuvre du mécanisme international de Réduction des émissions de gaz à effet de serre issues de la déforestation et de la dégradation des forêts (REDD+).
Ce plan a été adopté jeudi à Abidjan, lors d’un atelier initié par le Programme national du changement climatique (PNCC) du ministère de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable.
Selon les consultants du PNCC, Samuel Ndohe et Jean Paul Aka, les différents ateliers organisés avec les partenaires, depuis juillet 2014, ont permis d’évaluer ’’leur niveau d’implication’’ dans la mise en œuvre du processus : « il s’agit, à présent, d’analyser et de valider les différentes propositions des parties prenantes, pour la prochaine phase », ont-ils précisé.
Les représentants de la société civile, de l’administration, des communautés locales, des professionnels des médias, des chercheurs d’universités et de centres de recherches, du secteur privé et des partenaires techniques et financiers ont analysé les potentielles opportunités, les risques, les attentes et les outils de la mise œuvre du mécanisme REDD+.
A l’issue des travaux, les participants ont, entre autres, proposé au secrétariat général du mécanisme REDD+ d’insister sur l’engagement du secteur privé (les exploitants forestiers et miniers, les entreprises agro-industrielles) qui, selon eux, restent ‘’une partie prenante’’ déterminante dans la réussite du processus REDD+.
Les professionnels des médias ont, pour leur part, suggéré la prise en compte de la presse en ligne et des réseaux sociaux qui peuvent jouer un rôle important.
Le plan d’engagement va permettre d’élaborer un document qui présente les approches, les démarches et les étapes de la préparation de la REDD+ que la Côte d’Ivoire entend suivre durant les trois années à venir, fait-on savoir.
(AIP)
tad/kkp/tm
Ce plan a été adopté jeudi à Abidjan, lors d’un atelier initié par le Programme national du changement climatique (PNCC) du ministère de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable.
Selon les consultants du PNCC, Samuel Ndohe et Jean Paul Aka, les différents ateliers organisés avec les partenaires, depuis juillet 2014, ont permis d’évaluer ’’leur niveau d’implication’’ dans la mise en œuvre du processus : « il s’agit, à présent, d’analyser et de valider les différentes propositions des parties prenantes, pour la prochaine phase », ont-ils précisé.
Les représentants de la société civile, de l’administration, des communautés locales, des professionnels des médias, des chercheurs d’universités et de centres de recherches, du secteur privé et des partenaires techniques et financiers ont analysé les potentielles opportunités, les risques, les attentes et les outils de la mise œuvre du mécanisme REDD+.
A l’issue des travaux, les participants ont, entre autres, proposé au secrétariat général du mécanisme REDD+ d’insister sur l’engagement du secteur privé (les exploitants forestiers et miniers, les entreprises agro-industrielles) qui, selon eux, restent ‘’une partie prenante’’ déterminante dans la réussite du processus REDD+.
Les professionnels des médias ont, pour leur part, suggéré la prise en compte de la presse en ligne et des réseaux sociaux qui peuvent jouer un rôle important.
Le plan d’engagement va permettre d’élaborer un document qui présente les approches, les démarches et les étapes de la préparation de la REDD+ que la Côte d’Ivoire entend suivre durant les trois années à venir, fait-on savoir.
(AIP)
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