Dans le cadre de son programme d’implication de la société civile dans la gouvernance locale, la plate forme de la société civile pour la paix et la démocratie, en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), a procédé, mardi, à Bouaké, au lancement d’une formation des acteurs locaux sur les mécanismes de contrôle citoyen de l’action publique.
L’objectif est de renforcer leurs capacités pour une meilleure compréhension de la gouvernance locale et les mécanismes de participation citoyenne. Les participants à savoir, les autorités municipales, les élus, les responsables des structures déconcentrées, les leaders communautaires, les responsables et membres des organisations de la société civile, seront instruits, durant 12 jours, sur le processus de mise en œuvre du budget participatif, le suivi évaluation participatif et le budget sensible au genre.
Le président de la plate forme de la société civile pour la paix et la démocratie, M. Doumbia Soumaïla, a indiqué que le contrôle citoyen de l’action publique n’est pas une opposition aux actions des administrations publiques, mais ‘’un mécanisme de concertation, un outil d’inclusion, en vue d’une meilleure participation des acteurs à la gestion de la chose publique’’.
Le sous préfet central, M. Djandet Lorng, a salué l’initiative de cette formation. Puis, a exhorté la société civile à prendre son destin en main et à montrer à la Côte d’Ivoire qu’elle existe. ‘’Aujourd’hui la Côte d’Ivoire à besoin d’avancer et il faut une société civile forte’’, a-t-il signifié, justifiant la nécessité pour elle (société civile) de s’impliquer dans la gouvernance et le développement local pour aider au contrôle des entités territoriales bénéficiaires des délégations de pouvoir de l’Etat.
"On ne s’est pas trompé d’accompagner la plate forme de la société civile", a fait savoir le représentant du PNUD, M. Bamba Sékou qui a salué les actions menées par cette plateforme. Il a réaffirmé la disponibilité de l’institution internationale à toujours accorder son soutien aux actions qui concourent à la bonne gouvernance.
Le premier adjoint au maire de Bouaké, Ouattara Zoumana, qui estime que ‘’l’avènement d’une bonne gouvernance requiert l’implication de la société civile’’, a traduit aux initiateurs l’adhésion du maire Djibo Nicolas à leur cause et l’espoir qu’il place en ce projet d’appui à la gouvernance locale.
nbf/ask
L’objectif est de renforcer leurs capacités pour une meilleure compréhension de la gouvernance locale et les mécanismes de participation citoyenne. Les participants à savoir, les autorités municipales, les élus, les responsables des structures déconcentrées, les leaders communautaires, les responsables et membres des organisations de la société civile, seront instruits, durant 12 jours, sur le processus de mise en œuvre du budget participatif, le suivi évaluation participatif et le budget sensible au genre.
Le président de la plate forme de la société civile pour la paix et la démocratie, M. Doumbia Soumaïla, a indiqué que le contrôle citoyen de l’action publique n’est pas une opposition aux actions des administrations publiques, mais ‘’un mécanisme de concertation, un outil d’inclusion, en vue d’une meilleure participation des acteurs à la gestion de la chose publique’’.
Le sous préfet central, M. Djandet Lorng, a salué l’initiative de cette formation. Puis, a exhorté la société civile à prendre son destin en main et à montrer à la Côte d’Ivoire qu’elle existe. ‘’Aujourd’hui la Côte d’Ivoire à besoin d’avancer et il faut une société civile forte’’, a-t-il signifié, justifiant la nécessité pour elle (société civile) de s’impliquer dans la gouvernance et le développement local pour aider au contrôle des entités territoriales bénéficiaires des délégations de pouvoir de l’Etat.
"On ne s’est pas trompé d’accompagner la plate forme de la société civile", a fait savoir le représentant du PNUD, M. Bamba Sékou qui a salué les actions menées par cette plateforme. Il a réaffirmé la disponibilité de l’institution internationale à toujours accorder son soutien aux actions qui concourent à la bonne gouvernance.
Le premier adjoint au maire de Bouaké, Ouattara Zoumana, qui estime que ‘’l’avènement d’une bonne gouvernance requiert l’implication de la société civile’’, a traduit aux initiateurs l’adhésion du maire Djibo Nicolas à leur cause et l’espoir qu’il place en ce projet d’appui à la gouvernance locale.
nbf/ask
