La Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI) a décidé, lundi, de reporter au 29 septembre prochain l’ouverture de l’audience de confirmation des charges dans l’affaire « Le Procureur c. Charles Blé Goudé ».
Selon un communiqué transmis à APA, ce report a été décidé à la « demande de la Défense afin qu'elle puisse conclure ses préparations pour l'audience préalablement programmée le 22 septembre 2014 ».
Charles Blé Goudé a comparu le 27 mars 2014, pour la première fois devant la CPI. La juge unique, Silvia Fernandez de Gurmendi, avait initialement fixé le début de l'audience de confirmation des charges au 18 août dernier.
Le 22 mars dernier, Charles Blé Goudé a été remis à la CPI par les autorités de la Côte d'Ivoire en exécution d'un mandat d'arrêt délivré par les juges de la CPI le 21 décembre 2011 et rendu public le 30 septembre 2013.
Charles Blé Goudé, 42 ans, de nationalité ivoirienne, aurait engagé sa responsabilité pénale individuelle, en tant que coauteur indirect, pour quatre chefs de crimes contre l'humanité (meurtres, viols et autres violences sexuelles, actes de persécution et autres actes inhumains) qui auraient été perpétrés dans le contexte des violences post-électorales survenues sur le territoire de la Côte d'Ivoire entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011.
LS/APA
Selon un communiqué transmis à APA, ce report a été décidé à la « demande de la Défense afin qu'elle puisse conclure ses préparations pour l'audience préalablement programmée le 22 septembre 2014 ».
Charles Blé Goudé a comparu le 27 mars 2014, pour la première fois devant la CPI. La juge unique, Silvia Fernandez de Gurmendi, avait initialement fixé le début de l'audience de confirmation des charges au 18 août dernier.
Le 22 mars dernier, Charles Blé Goudé a été remis à la CPI par les autorités de la Côte d'Ivoire en exécution d'un mandat d'arrêt délivré par les juges de la CPI le 21 décembre 2011 et rendu public le 30 septembre 2013.
Charles Blé Goudé, 42 ans, de nationalité ivoirienne, aurait engagé sa responsabilité pénale individuelle, en tant que coauteur indirect, pour quatre chefs de crimes contre l'humanité (meurtres, viols et autres violences sexuelles, actes de persécution et autres actes inhumains) qui auraient été perpétrés dans le contexte des violences post-électorales survenues sur le territoire de la Côte d'Ivoire entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011.
LS/APA