L’Association nationale des producteurs de cajou de Côte d’Ivoire (ANAPROCAJOU–CI) a organisé à Zuénoula (centre-ouest, région de la Marahoué) une journée du producteur de cajou sur le thème « Etat de la conformité des sociétés coopératives de la région de la Marahoué selon l’acte uniforme de l’OHADA et l’ordonnance N° 2011-473 du 21 décembre 2011 et bilan de la campagne cajou 2014. »
Cette journée s’est déroulée samedi en présence des autorités administratives, la chefferie traditionnelle locale et de nombreuses organisations de la filière.
Elle vise, entre autres, à faire le bilan de la campagne de cajou 2014 et surtout à égrener les difficultés que rencontrent les producteurs dans la filière.
Il s’agit notamment de la mévente de la noix de cajou sur le marché international due à la diffusion tardive des prix, le trop grand nombre de coopérative dans la filière créant la division entre les producteurs et le manque de magasin et de matériel de conservation de l’anacarde.
Le directeur général du Conseil coton et anacarde, Sanogo Malamine, a fait savoir que la commercialisation de la noix de cajou se fera désormais autour des magasins qui seront mis en place dans les différentes régions de la Côte d’Ivoire.
M. Sanogo a, par ailleurs, invité les producteurs à commercialiser rapidement la noix de cajou qui est un produit spéculatif sur le marché et profité pour annoncer les réformes qui ont été déjà entamées, à savoir l’encadrement des paysans, la mise à disposition des paysans des résultats des recherches agronomiques et la transformation de la noix de cajou.
Le département de Zuénoula, zone située dans la région de la Marahoué a enregistré en 2014 une production de 19 000 Tonnes de noix de cajou.
Zaar/kp
Cette journée s’est déroulée samedi en présence des autorités administratives, la chefferie traditionnelle locale et de nombreuses organisations de la filière.
Elle vise, entre autres, à faire le bilan de la campagne de cajou 2014 et surtout à égrener les difficultés que rencontrent les producteurs dans la filière.
Il s’agit notamment de la mévente de la noix de cajou sur le marché international due à la diffusion tardive des prix, le trop grand nombre de coopérative dans la filière créant la division entre les producteurs et le manque de magasin et de matériel de conservation de l’anacarde.
Le directeur général du Conseil coton et anacarde, Sanogo Malamine, a fait savoir que la commercialisation de la noix de cajou se fera désormais autour des magasins qui seront mis en place dans les différentes régions de la Côte d’Ivoire.
M. Sanogo a, par ailleurs, invité les producteurs à commercialiser rapidement la noix de cajou qui est un produit spéculatif sur le marché et profité pour annoncer les réformes qui ont été déjà entamées, à savoir l’encadrement des paysans, la mise à disposition des paysans des résultats des recherches agronomiques et la transformation de la noix de cajou.
Le département de Zuénoula, zone située dans la région de la Marahoué a enregistré en 2014 une production de 19 000 Tonnes de noix de cajou.
Zaar/kp