Le Salon International des Technologies de l’Information et de la Communication
(SITIC) se tient à N’Djamena au Tchad du 09 au 12 Septembre 2014 autour du
thème central: «Partage d’expériences, en vue du développement harmonieux des
TIC en Afrique». La cérémonie d’ouverture du SITIC-2014 a été présidée par S.E.M
Idriss DEBY ITNO Président de la République du Tchad, en présence du Secrétaire
Général de l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), Dr. Hamadoun
TOURE et du Secrétaire Général de l’Union Africaine des Télécommunications
(UAT), M. SOUMAILA Adoulkarim.
Ce salon réunit les Ministres de la Communication et des TIC, les Autorités
de régulation, les membres de la Commission large bande de l’ONU pour
le développement numérique, les dirigeants de l’industrie et les innovateurs
numériques de l’écosystème des TIC.
Au-delà de l’exposition des acteurs africains des TIC, le SITIC-2014 abrite des
tables rondes ministérielles, des réunions et ateliers thématiques de leaders
et d’investisseurs. Ainsi, parmi les divers panels, celui relatif aux e-services,
qui avait pour modérateur M. Tahir Hamid NGUILIN Vice- Gouverneur de la
Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC), a enregistré une présentation
de Dr. GUIBESSONGUI N’Datien Séverin, DG de ICT CONSULTING, sur le
thème « aspects juridiques et contraintes des e-services ».
Au cours de sa présentation fort enrichissante et édifiante, Dr. GUIBESSONGUI a
identifié la nature juridique des e-services en montrant qu’il s’agit d’une catégorie
juridique plurielle et non singulière. Aussi a t-il déduit le régime juridique applicable
aux e-services au plan institutionnel et financier.
Selon Dr. GUIBESSONGUI « les e-services universels sont développés pour
impulser le développement dans les secteurs public ou privé et dans des domaines
socio-économiques régaliens ou non, dans un but non lucratif. Ils imprègnent les
domaines de l’éducation (e-education), de la santé (e-santé), de l’agriculture (e-
agriculture), de la gouvernance (e-gouv), etc. On peut donc les distinguer des e-
transactions (e-commerce, contrat électronique, publicité par voie électronique,
archivage électronique, etc.) qui ont un but mercantile ou commercial ». L’Afrique
compte donc s’approprier les e-services pour le développement harmonieux des TIC
au profit des populations.
Myriam M.
(SITIC) se tient à N’Djamena au Tchad du 09 au 12 Septembre 2014 autour du
thème central: «Partage d’expériences, en vue du développement harmonieux des
TIC en Afrique». La cérémonie d’ouverture du SITIC-2014 a été présidée par S.E.M
Idriss DEBY ITNO Président de la République du Tchad, en présence du Secrétaire
Général de l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), Dr. Hamadoun
TOURE et du Secrétaire Général de l’Union Africaine des Télécommunications
(UAT), M. SOUMAILA Adoulkarim.
Ce salon réunit les Ministres de la Communication et des TIC, les Autorités
de régulation, les membres de la Commission large bande de l’ONU pour
le développement numérique, les dirigeants de l’industrie et les innovateurs
numériques de l’écosystème des TIC.
Au-delà de l’exposition des acteurs africains des TIC, le SITIC-2014 abrite des
tables rondes ministérielles, des réunions et ateliers thématiques de leaders
et d’investisseurs. Ainsi, parmi les divers panels, celui relatif aux e-services,
qui avait pour modérateur M. Tahir Hamid NGUILIN Vice- Gouverneur de la
Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC), a enregistré une présentation
de Dr. GUIBESSONGUI N’Datien Séverin, DG de ICT CONSULTING, sur le
thème « aspects juridiques et contraintes des e-services ».
Au cours de sa présentation fort enrichissante et édifiante, Dr. GUIBESSONGUI a
identifié la nature juridique des e-services en montrant qu’il s’agit d’une catégorie
juridique plurielle et non singulière. Aussi a t-il déduit le régime juridique applicable
aux e-services au plan institutionnel et financier.
Selon Dr. GUIBESSONGUI « les e-services universels sont développés pour
impulser le développement dans les secteurs public ou privé et dans des domaines
socio-économiques régaliens ou non, dans un but non lucratif. Ils imprègnent les
domaines de l’éducation (e-education), de la santé (e-santé), de l’agriculture (e-
agriculture), de la gouvernance (e-gouv), etc. On peut donc les distinguer des e-
transactions (e-commerce, contrat électronique, publicité par voie électronique,
archivage électronique, etc.) qui ont un but mercantile ou commercial ». L’Afrique
compte donc s’approprier les e-services pour le développement harmonieux des TIC
au profit des populations.
Myriam M.