Abidjan - L'Agence française de développement (AFD) a approuvé vendredi, à Dakar, des financements d'un montant total de 33,2 milliards de FCFA en faveur de trois projets du gouvernement sénégalais dont celui portant une ligne d'interconnexion électrique entre la Mauritanie et le Sénégal.
D'un montant de 26,2 milliards de franc CFA, ce projet d'interconnexion électrique devrait permettre l'importation d'environ 900GW/h par an (puis environ 1800 GW/h/an dans une deuxième phase) de l'électricité produite en Mauritanie, a expliqué le ministre sénégalais de l'Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ.
Il vise à terme à "réduire le coût moyen de production d'électrique au Sénégal par rapport à la situation actuelle", a indiqué Bâ, en procédant avec la secrétaire d'Etat française Annick Girardin (Développement et Francophonie), à la signature de trois conventions relatives à ces financements.
Selon le ministre sénégalais, il est également attendu de ce projet qu'il contribue à diversifier les sources de production d'électricité, ce qui permettrait de réduire la dépendance du Sénégal à l'égard des prix internationaux de l'énergie.
De cette manière, a relevé Amadou Bâ, le projet d'interconnexion électrique entre la Mauritanie et le Sénégal arriverait à éviter les émissions de gaz à effet de serre en réduisant le besoin des centrales au charbon.
"La finalité du projet est de contribuer à la croissance économique du Sénégal, de façon durable par la mise à disposition de l'électricité de manière continue et à moindre coût", a-t-il insisté.
La deuxième convention liant les deux parties est estimée à 6,56 milliards de FCFA et porte sur la sécurisation de l'alimentation en eau potable de Dakar et de sa région. Le projet concerné ambitionne de "combler le retard dans le renouvellement des infrastructures pour la sécurisation du système d'adduction d'eau potable" de la région dakaroise.
Un autre financement concerne l'appui à la gouvernance des institutions publiques nationales et locales pour un montant de 393, 6 millions de FCFA destinés à "la poursuite des interventions au Sénégal du Fonds de solidarité prioritaire du ministère français des Affaires étrangères et du Développement international", a signalé M. Bâ.
Il a pour objectif d'améliorer "la gouvernance financière au Sénégal notamment par le renforcement des capacités des administrations économiques et financières, pour une gestion plus efficace et plus transparente des fiances publiques", a-t-il dit.
Selon Amadou Bâ, "les trois composantes du projet visent à optimiser les ressources humaines et la gestion transparente et efficace des finances publiques au niveau central". Ils visent par ailleurs "à mobiliser de plus importantes ressources et renforcer la transparence et l'efficacité de l'exécution des dépendances afin d'améliorer la qualité des services publics au niveau local".
D'un montant de 26,2 milliards de franc CFA, ce projet d'interconnexion électrique devrait permettre l'importation d'environ 900GW/h par an (puis environ 1800 GW/h/an dans une deuxième phase) de l'électricité produite en Mauritanie, a expliqué le ministre sénégalais de l'Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ.
Il vise à terme à "réduire le coût moyen de production d'électrique au Sénégal par rapport à la situation actuelle", a indiqué Bâ, en procédant avec la secrétaire d'Etat française Annick Girardin (Développement et Francophonie), à la signature de trois conventions relatives à ces financements.
Selon le ministre sénégalais, il est également attendu de ce projet qu'il contribue à diversifier les sources de production d'électricité, ce qui permettrait de réduire la dépendance du Sénégal à l'égard des prix internationaux de l'énergie.
De cette manière, a relevé Amadou Bâ, le projet d'interconnexion électrique entre la Mauritanie et le Sénégal arriverait à éviter les émissions de gaz à effet de serre en réduisant le besoin des centrales au charbon.
"La finalité du projet est de contribuer à la croissance économique du Sénégal, de façon durable par la mise à disposition de l'électricité de manière continue et à moindre coût", a-t-il insisté.
La deuxième convention liant les deux parties est estimée à 6,56 milliards de FCFA et porte sur la sécurisation de l'alimentation en eau potable de Dakar et de sa région. Le projet concerné ambitionne de "combler le retard dans le renouvellement des infrastructures pour la sécurisation du système d'adduction d'eau potable" de la région dakaroise.
Un autre financement concerne l'appui à la gouvernance des institutions publiques nationales et locales pour un montant de 393, 6 millions de FCFA destinés à "la poursuite des interventions au Sénégal du Fonds de solidarité prioritaire du ministère français des Affaires étrangères et du Développement international", a signalé M. Bâ.
Il a pour objectif d'améliorer "la gouvernance financière au Sénégal notamment par le renforcement des capacités des administrations économiques et financières, pour une gestion plus efficace et plus transparente des fiances publiques", a-t-il dit.
Selon Amadou Bâ, "les trois composantes du projet visent à optimiser les ressources humaines et la gestion transparente et efficace des finances publiques au niveau central". Ils visent par ailleurs "à mobiliser de plus importantes ressources et renforcer la transparence et l'efficacité de l'exécution des dépendances afin d'améliorer la qualité des services publics au niveau local".