Abidjan - Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, et le président du groupe de la Banque africaine de développement (BAD), Donald Kaberuka, ont visité jeudi le siège de l’institution financière à la rue des banques à Abidjan-Plateau, pour s’enquérir de l’état d’avancement des travaux de réhabilitation débutés en septembre 2012.
Les deux personnalités n’ont fait aucune déclaration au terme de cette visite. Depuis la relocalisation de l’institution financière panafricaine en août 2014 à Abidjan, après 11 années passées à Tunis (Tunisie), le millier d’agents devrait être installé à l’immeuble du Centre de commerce international d’Abidjan (CCIA) durant ce mois de septembre, en attendant certainement d’être redéployés dans leur joyau architectural qui a toujours fait la fierté du centre des affaires ivoirien.
Daniel Kablan Duncan a souligné, le 8 septembre, que la cérémonie de levée des drapeaux de la BAD et de la Côte d’Ivoire marque le retour définitif de la banque à son siège statutaire avec l’installation du président, des vice-présidents et des quelque 1.800 agents.
En effet, a-t-il soutenu, ce retour marque les multiples interventions de la BAD dans les domaines des infrastructures structurantes (énergie, routes, ponts, télécommunications, …), des infrastructures sociales de base (santé, éducation, logements, assainissement, …), de l’agriculture, de la cohésion sociale et bien d’autres secteurs qui sont des réalités qui montrent combien celle-ci est importante et proche du développement du continent africain.
L’institution panafricaine, dans la lutte contre l’épidémie de la fièvre Ebola dans les pays touchés en Afrique de l’Ouest, a annoncé la mise à disposition d’une enveloppe d’environ 30 milliards de FCFA.
En 2014, a rappelé le chef du gouvernement ivoirien, le portefeuille actif de la BAD en Côte d’Ivoire est constitué de 13 projets, pour un engagement d’environ 197 milliards de FCFA dont 103 milliards de FCFA pour des projets publics de renforcement des capacités en faveur des administrations publiques et collectivités locales, de l’assainissement du bassin du Gourou et de l’appui aux infrastructures agricoles dans la région de l'Indénié-Djuablin.
Quelque 94 milliards de FCFA sont également prévus pour la réalisation d’infrastructures structurantes telles que le pont Henri Konan Bédié, l’extension de la centrale électrique d’Azito et celle de la CIPREL.
Amak/kkp/kp
Les deux personnalités n’ont fait aucune déclaration au terme de cette visite. Depuis la relocalisation de l’institution financière panafricaine en août 2014 à Abidjan, après 11 années passées à Tunis (Tunisie), le millier d’agents devrait être installé à l’immeuble du Centre de commerce international d’Abidjan (CCIA) durant ce mois de septembre, en attendant certainement d’être redéployés dans leur joyau architectural qui a toujours fait la fierté du centre des affaires ivoirien.
Daniel Kablan Duncan a souligné, le 8 septembre, que la cérémonie de levée des drapeaux de la BAD et de la Côte d’Ivoire marque le retour définitif de la banque à son siège statutaire avec l’installation du président, des vice-présidents et des quelque 1.800 agents.
En effet, a-t-il soutenu, ce retour marque les multiples interventions de la BAD dans les domaines des infrastructures structurantes (énergie, routes, ponts, télécommunications, …), des infrastructures sociales de base (santé, éducation, logements, assainissement, …), de l’agriculture, de la cohésion sociale et bien d’autres secteurs qui sont des réalités qui montrent combien celle-ci est importante et proche du développement du continent africain.
L’institution panafricaine, dans la lutte contre l’épidémie de la fièvre Ebola dans les pays touchés en Afrique de l’Ouest, a annoncé la mise à disposition d’une enveloppe d’environ 30 milliards de FCFA.
En 2014, a rappelé le chef du gouvernement ivoirien, le portefeuille actif de la BAD en Côte d’Ivoire est constitué de 13 projets, pour un engagement d’environ 197 milliards de FCFA dont 103 milliards de FCFA pour des projets publics de renforcement des capacités en faveur des administrations publiques et collectivités locales, de l’assainissement du bassin du Gourou et de l’appui aux infrastructures agricoles dans la région de l'Indénié-Djuablin.
Quelque 94 milliards de FCFA sont également prévus pour la réalisation d’infrastructures structurantes telles que le pont Henri Konan Bédié, l’extension de la centrale électrique d’Azito et celle de la CIPREL.
Amak/kkp/kp