Abidjan - Le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko, a invité, jeudi, lors de la première réunion de la commission centrale, les membres à se départir des a priori pour se mettre résolument au travail, pour le bon fonctionnement de l’institution chargée d’organiser les prochaines élections en Côte d’Ivoire.
"Il s’agit, pour chacun des membres de la CEI, de se départir de ses a priori, de faire, pour un temps, le sacrifice de ses prétentions ou ambitions politiques. Il s’agit, pour chacun des membres de la CEI, de mettre entre parenthèses ses préférences personnelles et de se comporter désormais, non plus comme le représentant d’un parti, d’un courant, d’une obédience, mais comme un responsable qui participe, à part entière, au bon fonctionnement d’une institution dont il est devenu membre", a déclaré Youssouf Bakayoko, à l’ouverture de la réunion qui intervient quelque 14 jours après la mise en place du bureau de la CEI, le 5 septembre.
Rappelant la vocation de son institution, celle "de constituer des listes électorales exhaustives et de créer les conditions d’une compétition saine", le président de la CEI a invité chacun des membres à se mettre en "situation de maîtriser parfaitement tous les aspects techniques de nos procédures", pour "des élections justes et transparentes en toute impartialité".
Le travail de la CEI "est de nature complexe et délicate", prévient-il, en insistant sur la nécessité de chacun à être désormais intimement persuadé qu’en acceptant de devenir membre de la CEI, "c’est renoncer à être, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’institution, le porte-parole d’une idéologie ou d’une région".
La commission centrale de la CEI qui est pour le moment amputée de quelques membres, annonce, pour les prochains jours, l’établissement du chronogramme de ses activités, l’ajustement du cadre organisationnel, tout un ensemble de règles qu’il faut apprendre à respecter, avant les séances de mise à niveau et de formation, les préparatifs de l’opération de révision de la liste électorale et du scrutin présidentiel d’octobre 2015 proprement dit.
kkp/kp
"Il s’agit, pour chacun des membres de la CEI, de se départir de ses a priori, de faire, pour un temps, le sacrifice de ses prétentions ou ambitions politiques. Il s’agit, pour chacun des membres de la CEI, de mettre entre parenthèses ses préférences personnelles et de se comporter désormais, non plus comme le représentant d’un parti, d’un courant, d’une obédience, mais comme un responsable qui participe, à part entière, au bon fonctionnement d’une institution dont il est devenu membre", a déclaré Youssouf Bakayoko, à l’ouverture de la réunion qui intervient quelque 14 jours après la mise en place du bureau de la CEI, le 5 septembre.
Rappelant la vocation de son institution, celle "de constituer des listes électorales exhaustives et de créer les conditions d’une compétition saine", le président de la CEI a invité chacun des membres à se mettre en "situation de maîtriser parfaitement tous les aspects techniques de nos procédures", pour "des élections justes et transparentes en toute impartialité".
Le travail de la CEI "est de nature complexe et délicate", prévient-il, en insistant sur la nécessité de chacun à être désormais intimement persuadé qu’en acceptant de devenir membre de la CEI, "c’est renoncer à être, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’institution, le porte-parole d’une idéologie ou d’une région".
La commission centrale de la CEI qui est pour le moment amputée de quelques membres, annonce, pour les prochains jours, l’établissement du chronogramme de ses activités, l’ajustement du cadre organisationnel, tout un ensemble de règles qu’il faut apprendre à respecter, avant les séances de mise à niveau et de formation, les préparatifs de l’opération de révision de la liste électorale et du scrutin présidentiel d’octobre 2015 proprement dit.
kkp/kp