A travers les actions de son premier responsable, les mérites du District d’Abidjan viennent d’être reconnus par une récompense internationale. En effet, le "jury du Prix Metropolis 2014 a décidé de décerner le 3ème Prix à la ville d’Abidjan pour son projet Fabrication d’attiéké". Cette bonne nouvelle, qui repositionne la Côte d’Ivoire dans le concert des nations, a été portée à la connaissance du gouverneur Beugré Mambé, par Mme Montserrat Pallares.
"Permettez-nous, indique le secrétaire général de Metropolis, une organisation qui regroupe les grandes métropoles d’Afrique et d’Europe, de vous adresser nos félicitations les plus sincères pour avoir remporté le 3ème Prix, mérité grâce à votre contribution à l’amélioration des conditions de vie des couches vulnérables (jeunes et femmes) des populations urbaines et périurbaines des 94 villes du District d’Abidjan, et à la lutte contre la pauvreté, le chômage et l’insécurité alimentaire. Dans l’attente de vous féliciter de vive voix à Hyderabad", la capitale et la plus grande ville de l’État indien du Télangana, "nous vous prions d’agréer, Monsieur le Gouverneur, l’expressions de notre haute considération".
Nul doute que ce laurier, qui vient d’être décerné au président Robert Beugré Mambé, accroîtra un peu plus les responsabilités de celui qui a décidé de traduire dans les actes, les recommandations du président de la République, Alassane Ouattara, dont l’un des nobles objectifs, est de faire entrer la Côte d’Ivoire dans le cercle fermé des pays émergents à l’horizon 2020. Pour jouer sa partition, le gouverneur du District d’Abidjan, qui s’est entouré d’une équipe de professionnels aguerris et à la compétence consommée; a décidé de retrousser les manches et mettre les mains dans le cambouis.
Et cette politique de la dure loi du terrain se traduit aujourd’hui par des résultats concrets. Il s’agit, en ce qui concerne de la production d’attiéké dit « emergent » (semoule de manioc cuite à la vapeur), de l’érection à Songon Kassemblé et à Adjamé Bingerville, de deux usines de fabrication de ce met très prisé des Ivoiriens mais aussi des Africains. D’autres usines de ce type sont en train d’être construites à Brofodoumé, à Ebimpé et à M’Pouto dont la fin consiste, comme les deux premières, à donner du travail aux femmes et aux jeunes, afin qu’ils se prennent eux-mêmes en charge.
C’est dans cette même veine qu’il faut situer la construction de l’usine de transformation de la tomate fraîche en pâte de tomates, dont le coût se monte à 132 millions de FCFA. Cette usine, sise à Songon, qui produira aussi des jus de fruits, permettra de développer des activités connexes telles que la culture d’orange, de pamplemousse, d’ananas, etc. Toute chose qui offrira un spectre pour le moins varié d’activités agricoles aux populations.
Pour ainsi dire, c’est à bon droit que le jury Metropolis a décidé de récompenser les mérites d’un homme qui a pris sur lui de ne pas rester dans les lambris dorés des bureaux climatisés, mais de plutôt prendre rendez-vous, quotidiennement, avec la boue, les ronces et les épines du terrain, afin d’offrir le meilleur à ses administrés.
"Permettez-nous, indique le secrétaire général de Metropolis, une organisation qui regroupe les grandes métropoles d’Afrique et d’Europe, de vous adresser nos félicitations les plus sincères pour avoir remporté le 3ème Prix, mérité grâce à votre contribution à l’amélioration des conditions de vie des couches vulnérables (jeunes et femmes) des populations urbaines et périurbaines des 94 villes du District d’Abidjan, et à la lutte contre la pauvreté, le chômage et l’insécurité alimentaire. Dans l’attente de vous féliciter de vive voix à Hyderabad", la capitale et la plus grande ville de l’État indien du Télangana, "nous vous prions d’agréer, Monsieur le Gouverneur, l’expressions de notre haute considération".
Nul doute que ce laurier, qui vient d’être décerné au président Robert Beugré Mambé, accroîtra un peu plus les responsabilités de celui qui a décidé de traduire dans les actes, les recommandations du président de la République, Alassane Ouattara, dont l’un des nobles objectifs, est de faire entrer la Côte d’Ivoire dans le cercle fermé des pays émergents à l’horizon 2020. Pour jouer sa partition, le gouverneur du District d’Abidjan, qui s’est entouré d’une équipe de professionnels aguerris et à la compétence consommée; a décidé de retrousser les manches et mettre les mains dans le cambouis.
Et cette politique de la dure loi du terrain se traduit aujourd’hui par des résultats concrets. Il s’agit, en ce qui concerne de la production d’attiéké dit « emergent » (semoule de manioc cuite à la vapeur), de l’érection à Songon Kassemblé et à Adjamé Bingerville, de deux usines de fabrication de ce met très prisé des Ivoiriens mais aussi des Africains. D’autres usines de ce type sont en train d’être construites à Brofodoumé, à Ebimpé et à M’Pouto dont la fin consiste, comme les deux premières, à donner du travail aux femmes et aux jeunes, afin qu’ils se prennent eux-mêmes en charge.
C’est dans cette même veine qu’il faut situer la construction de l’usine de transformation de la tomate fraîche en pâte de tomates, dont le coût se monte à 132 millions de FCFA. Cette usine, sise à Songon, qui produira aussi des jus de fruits, permettra de développer des activités connexes telles que la culture d’orange, de pamplemousse, d’ananas, etc. Toute chose qui offrira un spectre pour le moins varié d’activités agricoles aux populations.
Pour ainsi dire, c’est à bon droit que le jury Metropolis a décidé de récompenser les mérites d’un homme qui a pris sur lui de ne pas rester dans les lambris dorés des bureaux climatisés, mais de plutôt prendre rendez-vous, quotidiennement, avec la boue, les ronces et les épines du terrain, afin d’offrir le meilleur à ses administrés.