L'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) en Tunisie a dévoilé mardi, les noms de 27 candidats retenus pour la présidentielle du 23 novembre en Tunisie, sur quelque 70 personnes qui avaient déposé un dossier de candidature.
Selon l’organe chargé d'organiser les scrutins dans le pays, seuls 27 candidats ont respecté toutes les conditions. Quarante-un dossiers ont été rejetés, a précisé, mardi lors d'une conférence de presse, Mohamed Chafik Sarsar, le président de l'ISIE qui a également relevé le retrait de deux candidats.
Parmi les candidats retenus figurent le président sortant, Moncef Marzouki, qui brigue un nouveau mandat, l'ancien Premier ministre Béji Caïd Essebsi et le président de l'Assemblée nationale constituante Mustapha Ben Jaafar.
D'anciens ministres de Ben Ali tels Kamel Morjane et Mondher Zenaïdi, sont également en lice, tout comme une magistrate, Kalthoum Kannou, l'ex-gouverneur de la Banque centrale, Mustapha Kamel Ennabli, ainsi que des chefs de partis et des hommes d'affaires.
L'ISIE a précisé par ailleurs que 1 327 listes étaient en lice pour les législatives du 26 octobre, soit 1 230 en Tunisie et 97 à l'étranger.
C'est la première fois que les Tunisiens sont convoqués aux urnes pour élire leur chef d'État depuis la chute de Ben Ali, le 14 janvier 2011. Les scrutins d'octobre et de novembre devraient ainsi doter le pays d'institutions pérennes, près de quatre ans après la révolution.
cmas
Selon l’organe chargé d'organiser les scrutins dans le pays, seuls 27 candidats ont respecté toutes les conditions. Quarante-un dossiers ont été rejetés, a précisé, mardi lors d'une conférence de presse, Mohamed Chafik Sarsar, le président de l'ISIE qui a également relevé le retrait de deux candidats.
Parmi les candidats retenus figurent le président sortant, Moncef Marzouki, qui brigue un nouveau mandat, l'ancien Premier ministre Béji Caïd Essebsi et le président de l'Assemblée nationale constituante Mustapha Ben Jaafar.
D'anciens ministres de Ben Ali tels Kamel Morjane et Mondher Zenaïdi, sont également en lice, tout comme une magistrate, Kalthoum Kannou, l'ex-gouverneur de la Banque centrale, Mustapha Kamel Ennabli, ainsi que des chefs de partis et des hommes d'affaires.
L'ISIE a précisé par ailleurs que 1 327 listes étaient en lice pour les législatives du 26 octobre, soit 1 230 en Tunisie et 97 à l'étranger.
C'est la première fois que les Tunisiens sont convoqués aux urnes pour élire leur chef d'État depuis la chute de Ben Ali, le 14 janvier 2011. Les scrutins d'octobre et de novembre devraient ainsi doter le pays d'institutions pérennes, près de quatre ans après la révolution.
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