Une séance d’information du public sur le projet de l’échangeur (Fly-over) du carrefour Solibra a eu lieu le mercredi 03 Septembre 2014 dans la Salle des mariages Auguste Denise de la Commune de Treichville en présence des populations, d’opérateurs économiques, d’autorités municipales et de représentants de la structure Envipur.
Le 4ème adjoint au maire Botto Jean Roger, représentant le Maire François Albert Amichia a qualifié ce projet comme étant d’envergure qui va fluidifier la circulation. Pour lui, la réalisation de ce projet vient s’ajouter à ce que le Conseil municipal a voulu de beau pour la ville d’Abidjan. Selon l’étude d’impact environnemental réalisée par la structure Envipur, le carrefour Solibra voit en 1h près de 3000 véhicules circuler en moyenne dans le sens Treichville-Marcory et 2000 véhicules dans le sens du Boulevard De Gaulle-Marcory.
MM. Tabo Morrison (habitant du quartier Gbatta), Doh Michel (Président des locataires de Gbatta), Kouakou Parfait et Félix Anoblé (opérateur économique), ont respectivement posé plusieurs préoccupations. Ils ont tenu à savoir, entre autres, si leurs habitations ne seront pas détruites, quelles seront les conséquences de cette réalisation sur les populations riveraines, la date de démarrage des travaux, le sort du jardin Parc à bois… MM. Gohoua André et Koutouan Evra, représentant ‘’Envipur’’, ont signifié que les habitations ne seront pas détruites, qu’il n’aura pas de déguerpissement et de perturbations des activités. La validation de l’étude d’impact environnemental se fera à partir du 15 octobre 2014 et les travaux débuteront après l’ouverture de l’échangeur de Marcory. L’étude a prévu plusieurs variantes pour éviter les bouchons. C’est un échangeur à double sens d’une longueur de 520 m. Des séances de formations et de sensibilisations seront dispensées aux populations pour le volet social. Quant aux recommandations faites par M. Anoblé Félix sur l’emploi des jeunes de Gbatta et le respect des normes de construction, il a été dit clairement que très souvent, celui qui fait l’étude d’impact n’est pas celui qui réalise les travaux. S’agissant des normes de constructions, c’est un problème de conscience professionnelle de la part de certains responsables.
Info : Gustave KOUASSI
Le 4ème adjoint au maire Botto Jean Roger, représentant le Maire François Albert Amichia a qualifié ce projet comme étant d’envergure qui va fluidifier la circulation. Pour lui, la réalisation de ce projet vient s’ajouter à ce que le Conseil municipal a voulu de beau pour la ville d’Abidjan. Selon l’étude d’impact environnemental réalisée par la structure Envipur, le carrefour Solibra voit en 1h près de 3000 véhicules circuler en moyenne dans le sens Treichville-Marcory et 2000 véhicules dans le sens du Boulevard De Gaulle-Marcory.
MM. Tabo Morrison (habitant du quartier Gbatta), Doh Michel (Président des locataires de Gbatta), Kouakou Parfait et Félix Anoblé (opérateur économique), ont respectivement posé plusieurs préoccupations. Ils ont tenu à savoir, entre autres, si leurs habitations ne seront pas détruites, quelles seront les conséquences de cette réalisation sur les populations riveraines, la date de démarrage des travaux, le sort du jardin Parc à bois… MM. Gohoua André et Koutouan Evra, représentant ‘’Envipur’’, ont signifié que les habitations ne seront pas détruites, qu’il n’aura pas de déguerpissement et de perturbations des activités. La validation de l’étude d’impact environnemental se fera à partir du 15 octobre 2014 et les travaux débuteront après l’ouverture de l’échangeur de Marcory. L’étude a prévu plusieurs variantes pour éviter les bouchons. C’est un échangeur à double sens d’une longueur de 520 m. Des séances de formations et de sensibilisations seront dispensées aux populations pour le volet social. Quant aux recommandations faites par M. Anoblé Félix sur l’emploi des jeunes de Gbatta et le respect des normes de construction, il a été dit clairement que très souvent, celui qui fait l’étude d’impact n’est pas celui qui réalise les travaux. S’agissant des normes de constructions, c’est un problème de conscience professionnelle de la part de certains responsables.
Info : Gustave KOUASSI